Amourette

leto

Idées maladroites d'un amour idéal

Tu me tournes autour comme une alouette.
J'ai peur de craquer comme une allumette.
Tu réchauffes mon cœur, quand l'air frais laisse apparaître mon souffle tiède. Dans tous les domaines, tu restes la meilleure, je souffre de ne pas être assez bien.

Princesse sans roi, ni fortune, tu as non-seulement le titre, mais également le mérite. Dans tes vêtements seyants, tu émerveilles les gens ; s'arrêtent lorsqu'ils te croisent. Les hommes lâchent la main de leur femme, les femmes - elles - rident leur cœur d'une jalousie maladive.

Majesté, je suis votre principal sujet, je resterai votre pour l'éternité. Dis-moi ce qu'il te faut, je te l'apporterai sur plateau doré. Je veux une raison pour continuer ce jeu.

Malicieux, j'aime tes yeux pétillants comme ce champagne d'une douce campagne ensoleillée, d'un astre quittant bientôt les lieux. Hier et demain à tes côtés, je crie pour que les dieux puissent écouter mes prières, sous une aube enrobée d'une fraîche rosée, je n'ai pas dormi, j'ai cherché la solution toute la nuit. T'es mon équation finale, et moi ; ne suis qu'un simple pion.

Frustrant oxymore, j'erre tel un mort-vivant.
T'es mon oxygène tant j'ai besoin de toi.


Au bord du néant, saute dans l'Océan sans savoir ce qu'il en renferme, j'ouvre mes yeux sous l'eau et vois le Chtuhlluh. Il me dit de te rejoindre, de cesser le chahut et d'enlever la buée de mes chaudes pensées, afin d'y voir plus clair.

Tu es - et restera - toi.

La vie est un jeu idiot, tu en es la règle ; le rang logique, tu le rends différent, magique et cohérent.

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