Analphabète, à initier
Jean Claude Blanc
Analphabète, à initier
Voilà-t-y pas, qu’elle m’injurie
Me traite comme du poisson pourri
Ma régulière, n’a rien compris
De mes poèmes, pets de l’esprit
C’est sûr, faut être initié
Mais entre artistes, on se connait
On édulcore la vérité
C’est au lecteur de décrypter
Conter fleurette, ça fait joli
A notre manière, on s’embellit
La femme inculte, se méprend
Confondant cul et sentiments
Ce monde frustré, est compliqué
Font leur malheur, les rancuniers
En prenant tout, au pied de la lettre
Vont à coup sûr, perdre la tête
C’est ma façon de farfouiller
Le moindre recoin, de mes idées
Y’a pas à dire, suis inspiré
Des âmes sensibles, le chansonnier
Même mes intimes, se sentent bannis
Prennent tout pour eux, ces égoïstes
Rimeur, me doit à mon public
Jouer les complices, porte préjudice
AS, pute ou psychologue
Les oubliés les catalogue
Me précipite sur mon blog
Leur tiens crachoir, l’idéologue
Tout le tour du ventre, j’ai des groupies
Un Don Juan, que par l’esprit
Ma vieille bitte, vole pas bien haut
Ne me masturbe, que le cerveau
Chantre, rêveur, fait des promesses
Pour rendre hommage à ses déesses
Se fout pas mal, de leurs fesses
De mots galants, il les caresse
Hélas, des fois, ça tombe à plat
Ados en retard, ne pigent pas
Principalement, sont mes plus proches
Qui me cherchent des anicroches
Nul n’est prophète en son logis
La liberté, se paie le prix
De ces maximes, on va traduire
Dire, que je mens, comme je respire
N’y a plus belle flatterie
Que d’être châtié, par les ignares
Les âmes subtiles, sont ravies
Leur sers mes vers, sans retard
Me donnent raison, les commentaires
Des abonnés à mon bréviaire
En quelque sorte, suis leur clown, clone
Les angoissés, faut qu’ils déconnent
Mythomanie et narcissisme
Je me cuirasse, des infamies
Dans l’abstraction, je trouve la paix
Ne voulant plaire qu’aux éclairés
Tu es à plaindre, tendre gazelle
Plus belle la vie, ta ritournelle
En vérité, t’es pas consciente
Me moque de moi, quand je me vante
Bien des degrés, te faut franchir
Pour atteindre, mon obscur empire
Si tu t’arrêtes en chemin
Tu vas louper, futur destin
Tous les auteurs, vous le diront
Sont solidaires en amitié
Ce qu’ils racontent, c’est du bidon
Encore faut-il, les déchiffrer
Un peu déçu, de ces castagnes
Que me martèle, ma compagne
Jalouse, amère, toujours en rage
Même si je croque, que des images
Rien d’autre à faire, que continuer
Ecrire ce que dictent mes pensées
Interprétez comme vous voulez
Les mots sont faits, pour être usés
Si ça dérange, faut pas me lire
Mais les aigreurs, me font sourire
Ça encourage ma production
Et quand ça mord à l’hameçon
Je m’aperçois, que j’ai raison
JC Blanc décembre 2013 (la vie d’artiste)
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· Il y a presque 11 ans ·Fil,Hip,Oohhh, 18 Rockin Cher