Apocalyptique VDM Powa!

Apocalyptique VDM Powa!

(à la base, ceci est une "private joke" entre amis)

La ville entière est envahie; je les entends, ils sont partout. Si j'ouvre la porte je pourrais m'enfuir mais je finirais comme mes voisins de chez qui me parviennent les sons de la macabre fanfare qui à pris place dans leur salon quand la curiosité ou la peur les a pousser à jeter un œil dans le couloir... Cependant rester enfermé ici, c'est également me condamner. Je me précipite dans la cuisine, sous le lavabo, pour en sortir le fusil à canon scié que Giovanni m'a offert et potentiellement, le katana de mon défunt colocataire dans le salon (aller chercher le courrier par les temps d'apocalypse qu'il fait, c'était pas raisonnable) ...

J'ouvre enfin la porte, offrant à mes yeux un Pollock encore inédit de mes anciens voisins de palier. L'endroit est désert, je ne m'attarde donc pas trop, mais en descendant les marches je vois quelque chose qui me fait d'abords penser à un cerveau. L'objet posé quelques marches plus bas, est recouvert de liquide rouge, luisant ; en me rapprochant cela prends l'aspect d'une grosse pelote de laine, je la soulève à mon niveau à l'aide du katana et réalise de quoi il s'agit: la perruque de clown d'un ami probablement emportais trop tôt alors qu'il passait nous voir après le boulot...

Deux longues heures de fuites à travers les rues désertes (c'est discutable) plus tard, la ville est maintenant loin. Je joue au bowling sur l'autoroute avec la voiture d'un ami retrouver sans vie encastré dans un platane, le pauvre n'avait jamais eu l'air aussi intelligent de son vivant (l'acte étant clairement volontaire), bref, les zombies font les quilles et moi et la caisse faisons la boule ("parce qu'à Boulle...!").

[STRIKE!]

Ils sont de moins en moins nombreux, j'écoute la radio en écrasant les derniers d'entre eux. Il y a une demi-heure j'ai accidentellement roulé sur un de mes ancien compagnon minecrafteur avant de le reconnaitre. Il était déjà mort bien entendu mais c'est pour le geste, bref, c'est rater.
En regardant dans le rétroviseur je peux toujours voir la ville même si elle est déjà trop loin pour un demi-tour; j'aperçois également pendant une fraction de seconde une silhouette au cheveux blond qui me semble familière, d'à peu près ma taille et très certainement encore en vie elle court à au moins une quarantaines de mètre derrière la voiture, je ralentis et l'image se précise, c'est soit mon coloc qui veut récupérer son katana, ce qui me semble peut probable, soit c'est un personnage d'une de mes histoires (probablement un quelconque John). J'allais piler quand, dans le reflet du rétroviseur, un épais nuage s'élève brusquement de la ville...

Comme The Flash piégé en apesanteur...

[LA CENTRALE!]

Un souffle draconien renverse la voiture; je fais des tonneaux sur plusieurs mètres, s'ensuit le bruit de l'explosion achevant les dernières vitres et projetant des éclats de verre et de métal à travers l'habitacle.

[...]

Où suis-je?
Mes yeux sont ouverts mais je n'y vois plus rien; mes oreilles sifflent.
Ça sent le brulé, une horrible odeur de porc grillé.
Je tente de ramper mais il me manque une main...

[Je m'évanouis...]

Je sens une respiration sur mon visage...
Il pleut ? Quelque chose bouge, il y a de l'agitation...
C'est du sang...
Cette fois c'est cuit: avant même d'avoir eu le temps d'hurler
les zombies avaient déjà dévoré ma carcasse...

[ET MERDE!]

[Mudz] 

Apocalyptique VDM Powa! 

La ville entière est envahie; je les entends, ils sont partout. Si j'ouvre la porte je pourrais m'enfuir mais je finirais comme mes voisins de chez qui me parviennent les sons de la macabre fanfare qui à pris place dans leur salon quand la curiosité ou la peur les a pousser à jeter un œil dans le couloir... Cependant rester enfermé ici, c'est également me condamner. Je me précipite dans la cuisine, sous le lavabo pour en sortir le fusil à canon scié que Giovanni m'a offert et potentiellement, le katana de mon défunt colocataire (aller chercher le courrier par les temps d'apocalypse qu'il fait, c'est pas raisonnable)...

J'ouvre enfin la porte, offrant à mes yeux un Pollock encore inédit de mes anciens voisins de palier. L'endroit est désert, je ne m'attarde donc pas trop, mais en descendant les marches je vois quelque chose qui me fait d'abords penser à un cerveau. L'objet posé quelques marches plus bas, est recouvert de liquide rouge, luisant ; en me rapprochant cela prends l'aspect d'une grosse pelote de laine, je la soulève à mon niveau à l'aide du katana et réalise de quoi il s'agit: la perruque de clown d'un ami probablement emportais trop tôt alors qu'il passait nous voir après le boulot...

Deux longues heures de fuites à travers les rues désertes (c'est discutable) plus tard, la ville est maintenant loin. Je joue au bowling sur l'autoroute avec la voiture d'un ami retrouver sans vie encastré dans un platane, le pauvre n'avait jamais eu l'air aussi intelligent de son vivant (l'acte étant clairement volontaire), bref, ils font les quilles et moi et la caisse faisons la boule (parce qu'à Boulle...!).

[STRIKE!]

Ils sont de moins en moins nombreux, j'écoute la radio en écrasant les derniers d'entre eux. Il y a une demi-heure j'ai accidentellement roulé sur un de mes ancien compagnon minecrafteur avant de le reconnaitre. Il était déjà mort bien entendu mais c'est pour le geste, bref, c'est rater.
En regardant dans le rétroviseur je peux toujours voir la ville même si elle est déjà trop loin pour un demi-tour; j'aperçois également pendant une fraction de seconde une silhouette au cheveux blond qui me semble familière, d'à peu près ma taille et très certainement encore en vie elle court à au moins une quarantaines de mètre derrière la voiture, je ralentis et l'image se précise, c'est soit mon coloc qui veut récupérer son katana, ce qui me semble peut probable, soit c'est un personnage d'une de mes histoires (probablement un quelconque John). J'allais piler quand dans le reflet du rétroviseur, un épais nuage s'élève brusquement de la ville... Comme The Flash piégé en apesanteur...

[LA CENTRALE!]

Un souffle draconien renverse la voiture, je fais des tonneaux sur plusieurs mètres, s'ensuit le bruit de l'explosion achevant les dernières vitres et projetant des éclats de verre et de métal à travers l'habitacle.

[...]

Où suis-je?
Mes yeux sont ouverts mais je n'y vois rien; mes oreilles sifflent.
Ça sent le brulé, une horrible odeur de porc grillé.
Je tente de ramper mais il me manque une main...

[Je m'évanouis...]

Je sens une respiration sur mon visage...
Il pleut ? Quelque chose bouge, il y a de l'agitation...
C'est du sang...
Cette fois c'est cuit: avant même d'avoir eu le temps d'hurler
les zombies avaient déjà dévoré ma carcasse...

[ET MERDE!]

[Mudz]