Aqua-Toffana

L'aqua-toffana, poison subtil et célèbre, n'était autre qu'une solution concentrée d'arsenic.

L'art français de la guerre, relu sous un angle historique, en faisant abstraction de toute considération stylistique, alterne poncifs de mauvais aloi et naïvetés surprenantes.

La Défaite de 40 est ramenée aux causes qu'on lit dans tous les médiocres manuels d'Histoire: l'auteur ne pressent guère qu'il pourrait y avoir anguille sous roche, "il ne voit pas le Mal", comme les jeunes filles trop prudes.

François Hollande a eu accès à des Sources privilégiées, qui éclairent d'un jour cru cette noire période.

Le pire de tous, me dit-il, c'est Blum. Il me raconte que, deux ans avant le début des hostilités, Léon Blum a eu un entretien approfondi avec Louis-Ferdinand Céline. Blum bien plus écoeurant que ce qu'il y a d'inadmissible dans les livres de Céline. Il abandonne tout d'avance, il propose de sacrifier les Juifs Français aux Allemands, sans autre forme de procès. Bon débarras...

La Guerre Franco-Allemande est jouée bien avant Mai 40. Les deux vieilles nations sont d'accord sur l'essentiel, et l'Armée Française va bien laisser passer les Boches sans combattre, sous les yeux de 40 millions de Pétainistes (sans violence).

L'Occupation sera bien légère, en comparaison des autres territoires concernés par la Guerre (Juifs exclus), et socialement les Occupants seront choisis parmi les Diplômés des Universités, les Poètes, les Pacifistes et les Vieux.

Hollande encore: "le plus proche de la Vérité, le Vrai, c'est Céline".

En 1945 et après, les Américains ne nous font pas de cadeau.

Nous sommes absents de Yalta et des Grandes Conférences.

Ridgway "la Peste" dresse des millions de Français contre lui, et l'Empire Colonial est perdu en 20 ans !

Tout se tient, par conséquent.