Aquarelle

shakashaka

Des portraits, des portraits, la magie de l’abstrait

Des portraits, des portraits, des regards aux aguets

D’éternel ligne, du bonheur au spleen

Des tracés, des tracés, la vie sur papier

 

Elle croque le monde d’une plume vagabonde

Elle croque l’oubli  des traits pour la vie

 

Elle saborde de sa griffe l’écorchure éphémère

Des amoureux, aux hommes solitaires

Son imaginaire un palace diamantaire

Oh rubis d’aquarelle, que s’ouvre les arc en ciel

 

 

Elle croque le monde d’une plume vagabonde

Elle croque l’oubli  des traits pour la vie

 

Des portraits, des portraits, la magie de l’abstrait

Des portraits, des portraits, des regards aux aguets

D’éternel ligne, du bonheur au spleen

Des tracés, des tracés, la vie sur papier

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