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Moderne et subjectif
alison_pi
Pas naît d'aujourd'hui, nuit à la cybervie.
Tourne la page et perçois la marge,
saisis toi de l'espace pour écrire ton histoire.
Toujours cette même rengaine pour laquelle on comprend bien trop vite le rythme, pas à pas mais pas si vite car l'autre a le tournis,
il va falloir ralentir.
L'autre c'est toujours l'ennui, c'est ce désir de se projeter dans ce qu'il dit mais sur ce qu'il ne fera jamais.
Toujours ou jamais, l'infini naît d'Autrui, quel déni d'ennui.
Autrement dit, c'est se diviser de l'unité grisâtre pour mieux s'associer aux couleurs de celui qui s'idéalise, détruit et juge sans aucune limite un espace indivisible.
C'est dire si l'instabilité et le déséquilibre détruit les souvenirs.
Détruis d'antan, d'ici ou d'ailleurs, la blessure marque et se démarque en trois temps.
Le temps d'antan. Puis de maintenant.
Et, le temps qui structurera le prochainement.
Blessé, on laisse des traces de son passage en se tournant vers la société.
C'est contourner ce que l'on pense être pour s'iditenfier à ce que l'on ne sera jamais plus.
On naît intelligent pourtant l'Homme nie le néant. Trop souvent, il n'est pas conscient.
On est tous différent pourtant l'Homme inhibe le vide par des jugements. Ces hommes là semblent être inconscients.
Percevoir sans se faire voir, c'est un fait notoire.
Faits opposés, sens contradictoires.
La nature double d'une double nature semble antinomique.
Pourtant observe les, ils sont encore là.
C'est pour dire si le ridicule ne les tue pas.
N'oublions pas qu'à n'importe quel âge
cet autre n'est pas toi,
dès lors qu'il refoule, imite et assouvie les besoins d'Autrui
sans pour autant répondre de ses désirs.