Assonnances

eymeric

Masturbation intellectuelle quand tu nous prends par la main ...

       Si jamais ces salops souillaient sa sépulture, soyons sûr que ses sous officiers s'en iront s'insurger. Même si souvent certains s'interrogeaient sur sa légitimité … Ça c'est sûr cet ignare laissait s'éveiller l'ineptie chez certains. Cependant plus son insouciance s'aguerrissait, plus certaines glissaient dans leurs orifices auditifs que ses histoires de semences ne s'apprêtaient pas forcément à un garçon soûlant. Lui, soûlé des suggestions de l'ensemble quant à un éventuel salaire sale disparaissant aussitôt acquis. Il naquit en lui l'idée qu'il n'avait qu'à ne serait ce que disparaître ce mois-ci. En Citroën ou en simple classe affaire, peu importe si ce n'est qu'un super moyen de locomotion ça s'appréciait. Maintenant loin, il réfléchissait en se disant que certains disent « Ici ça tire, rare qu'on s'en tire sain et sauf. » Oui mais messieurs, sauf qu'à force que ça tire sur la corde raide forcément on confond satire et Satan ! Satané sauvage souillant l'image d'innocent, alors que souvent il n'y a aucun sujet sous-jacent, si ce n'est le sérum de la vérité sainte. Suffit pas de faire les sourds tous les soirs mais de s'interroger sur la source de la souffrance dont beaucoup s'offusquent. Si vous agissez de la sorte, c'est un ouf de soulagement qui vous sera susurré au seins de votre orifice auditif. Même si ce texte qui n'est pas un sonnet est saupoudré de raison, il contient aussi tel un serpent à sonnette un certains venin. Soyons censés, ces lignes sont trop classes comme du Céline, la syntaxe on s'en fout ça s'enchaîne ! Par centaine ça s'exclame "Stoppez donc ces sarcasmes". Les savants s'offusqueront "Ici ce ne sont pas des sarcasmes". Peut être, mais ici c'est un texte sialagogue, suffirait il même de siamois pour s'amoindrir des maux de tête que celui-ci puisse causer ? Pas sûr, du coup aussitôt satisfait par la satire et la sentence de ce pseudo sonnet, sonne en moi ceci : Si je cède au 6 6 6 c'est pour avoir la même vie que Sissi l'impératrice si ce n'est plus. Souvent soûl je me susurre ces sottises. Puis dans son sommeil le garçon que je suis ce dit qu'une fille sophistiqué s'essayant au sophisme serait d'une somptuosité assommant un somnambule de sommeil. Elle serait cette fille sensible sensibilisant à la sensualité tout en étant sensitif … Ma sentence serait alors soudainement de s'essayer à s'oublier car une telle fille sans soucis m'esquisserait un sourire en me soumettant un « sans-façon » en guise de réponse.

     Finissons sur une synthèse s'éloignant de cette lettre s'essayant à un simple exercice de style sans précédent, sans raison et sans fond sensé : De quoi la censure est elle censé doter les censeur ? Si ce n'est la sauvagerie d'êtres perfides et souillés par l'absence de bon sens … Eux s'exclameront que ça peut servir de sévir. Mais laissez-moi penser qu'ils ne demeurent dans leurs demeures que des SS de la pensée …

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