Connectez-vous pour commenter
Aux sombre fêlures
yaourtvert
À toutes ces choses qui me terrifient
Bien plus que ces films d'épouvante
Aux forces obscures qui s'unifient
Rendant la moindre pensée éprouvante.
Le dos courbé, les yeux rivés sur mes Docs,
Sentiments brouillés, vieux cœur en breloque.
Je cherche au loin ce chemin de sortie,
Il ne tient qu'à moi d'y courir sans ennui.
À toutes ces merdes qui s'intensifient,
Bien assez pour se sentir insignifiante,
Aux sombres fêlures auxquelles je me fient,
Je vous emmerde, folle mais bienséante.
La tête relevée, les yeux rivés vers les docks,
Je partirai, même le corps en loque.
Je vois au loin, et même dans la nuit,
Qu'un jour, pour vous je trouverai la sortie.