Bonheur éphémère

Cédric Laffineur

Le chant de tes soupirs, comme un vent d'allégresse,
emporte les larmes qu'exhortait ma tristesse ;
Que la chanson de ton corps recouvre les pleurs !

Ô fleur de la nuit, il n'est de plus douce mélodie
que le son de ton âme criant son bonheur
au rythme des caresses que t'offre la vie.

Le vent d'allégresse que ton plaisir engendre,
siffle dans mes oreilles que j'aime à l'entendre
tant son souffle chaud murmure mes mots secrets !

Las ! Il n'est pas secret que viendront demain
les larmes que ma mélancolie exhortait
et qui couleront de mes yeux dés le matin.

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