Brutal et sans guimauve

laera

Marc voit son amour basculer vers d'autres sentiments plus ravageurs et dangereux.

Marc est furieux, il n'arrive pas à rester en place. Il repense sans cesse aux textos qu'il a trouvés dans le téléphone de sa compagne. Des messages d'amour remplis de guimauve entrecoupés des encouragement de cette salope.

Le bruit de la clé dans la serrure, le fait sursauter. La voilà. Marc se tend. Il attend et redoute ce moment. Elle va payer.


Nathalie, entre souriante et les bras encombrés. Marc la fixe d'un air peu amène. Elle avance et dépose ses affaires dans le couloir, tout parlant d'une voix animée, sans voir que Marc ne l'écoute pas. Il la fixe d'un regard de pierre. Elle s'approche de lui et se penche pour l'embrasser. Marc, vif comme l'éclair, lui saisit le poignet et le serre très fort. Elle sursaute et tente un mouvement de recul. Son regard reflète l'incompréhension. Marc ricane en son fort intérieur. Elle va atterrir la garce. Il se lève, la jauge et dit d'un ton sec :

— Il y a des messages bizarres dans ton téléphone !

— Quoi ?!

Marc se dirige jusqu'à son sac, traînant Nathalie derrière-lui. Il sort le smartphone et rapidement retrouve les textos, qu'il lit à haute voix.

La coupable rougit, elle semble se liquéfier davantage à chaque mot. Impitoyable, Marc continue sa lecture tout en se rapprochant d'elle. Son visage n'est plus qu'à quelques millimètres de celui de sa femme. Il crache les mots d'amour tout en postillonnant généreusement. Elle se débat et d'un mouvement sec, elle arrive à se dégager et s'enfuit en direction de la porte. Marc, rapide, la rattrape, la maîtrise et la conduit jusqu'à à leur chambre. Elle crie, mais Marc la muselle d'une claque magistrale. Sa tête vole et son chignon se défait libérant des longues boucles auburn.

Marc la balance sur le lit, faisant grincer les ressorts du matelas. Elle tente de se relever, mais il lui ordonne rester allongée sur le ventre. Tout en la surveillant, il défait sa ceinture en cuir noir et la fait claquer plusieurs fois entre ses mains. D'un coup, il l'abat sur le dos de sa femme. Il frappe de plus en plus fort se concentrant sur le dos et les fesses de sa belle. Nathalie gémit et tressaute sous les coups. Sa blouse en satin clair, se macule de sang. Marc est excité par le bruit sec du cuir qui mord la chair délicate de sa femme. Il sent son sexe se durcir. Nathalie s'évanouit. Son bourreau pose la ceinture, puis il s'assoit sur le lit, attendant qu'elle revienne à elle.


Il la regarde, admirant son beau visage rendu brillant par les larmes. Il est toujours excité, son sexe est douloureusement comprimé par son jeans. Nathalie bat des paupières. Marc se met à l'interroger :

— C'est quoi ces textos ? Qui est ton amant ? Qu'est-ce que tu lui trouve ?

Nathalie sursaute à chacune de ses questions tandis que Marc savoure la peur qu'il lui inspire.

— Parle !

— Je suis désolée. Ce n'est pas ce que tu crois, dit-elle finalement d'une voix faible.

— Mais bien sûr, et c'est quoi ? J'ai vu les messages tendres et ridicules! Tu as un amant ! Tu veux m'humilier ! Me ridiculiser ! Il vocifère sous l'effet de la fureur tandis qu'elle se recroqueville, vaincue.

— Il m'écrit des choses gentilles, il me fait rêver, finit-elle par chuchoter.

— Je ne te fais pas rêver peut être ! tonne Marc, tu veux de l'amour et bien tu vas en avoir !

Marc doit marquer son territoire sans attendre. Il retourne sa femme, lui arrache sa blouse et retire son soutien-gorge, dévoilant des seins ronds et pleins.

— Je t'en supplie arrête !

Il ne fait aucun cas de ses supplications et défait la jupe avant de faire glisser le string le long des jambes fuselées de son épouse, dévoilant son intimité. Celle-ci amorphe, attend passivement la suite. Son visage est crispé par l'appréhension et la douleur.

Sans attendre, Marc ôte son pantalon, libérant son membre érigé. Il glisse son genou entre les cuisses de Nathalie afin de les écarter. Il s'allonge sur elle et la prend brutalement. Elle laisse échapper un râle de douleur. Ses mains se crispent sur le torse de son violeur, dans une vaine tentative pour le repousser. Mais il est fort. Il lui immobilise les mains et s'enfonce davantage en elle. Il la pilonne. Elle est fermée et la sécheresse de son intimité enflamme son gland. Pourtant, il garde la cadence, il savoure le fait que chacun de ses mouvements la blesse au plus profond de sa chair. Elle doit également subir les séquelles des coups de ceintures. Cette prise de pouvoir, le stimule. Il se cambre et s'enfonce de plus en plus profondément en elle et quand il sent que son plaisir est proche de s'échapper, il libère une de ses mains qu'il utilise pour comprimer la gorge de Nathalie. Celle-ci se débat pour sauver sa vie, son corps s'arque à cause des spasmes de l'asphyxie. Ses mouvements décuplent le plaisir de Marc. Son gland irrité libère sa semence dans un orgasme si puissant qu'il retombe sans force sur le lit à côté du corps immobile de la jeune femme.


Tandis qu'il plane dans une béatitude post-coïtale, il entend une énorme quinte de toux suivie d'une inspiration difficile. Elle a survécu. Marc se sent soulagé, il ne voulait pas la tuer. Il esquisse un sourire cruel. Il va recommencer, lui faire payer encore et encore. Cette idée redonne vie à son membre, mais il se rajuste et quitte la pièce en lançant sa menace :

— J'en ai pas fini avec toi.

Il entend un léger gémissement qu'il prend pour un assentiment. De toute manière elle n'a pas le choix. Il sort de la pièce sans remarquer le sourire douloureux de Nathalie. Elle a survécu et elle a adoré ça ! Elle soupçonnait depuis longtemps Marc d'avoir des penchants sadiques et elle n'avait pas été déçue. Les textos avaient fonctionné au-delà de ses espérances. La souffrance rayonnait dans tout son corps et la plongeait dans une béatitude. Le plus dur serait de cacher à Marc le plaisir qu'elle allait retirer des punitions qu'il lui ferait subir.

Marc est furieux, il n'arrive pas à rester en place. Il repense sans cesse aux textos qu'il a trouvés dans le téléphone de sa compagne. Des messages d'amour remplis de guimauve entrecoupés des encouragement de cette salope.

Le bruit de la clé dans la serrure, le fait sursauter. La voilà. Marc se tend. Il attend et redoute ce moment. Elle va payer.

Nathalie entre, souriante et les bras encombrés. Marc la fixe d'un air méchant. Elle avance et dépose ses affaires dans le couloir, tout en parlant d'une voix animée, sans même remarquer que Marc ne l'écoute pas. Elle s'approche de lui et se penche pour l'embrasser. Marc, vif comme l'éclair, lui saisit le poignet et le serre très fort. Elle sursaute et tente un mouvement de recul tout en le fixant de ses yeux écarquillés. Marc ricane en son fort intérieur. Elle va atterrir la garce. Il se lève, la jauge et dit d'un ton sec :

— Il y a des messages bizarres dans ton téléphone !

— Quoi ?!

Marc se dirige jusqu'à son sac, traînant Nathalie derrière lui. Il sort le smartphone et rapidement retrouve les textos, qu'il lit à haute voix.

La coupable rougit, elle semble se liquéfier davantage à chaque mot. Impitoyable, Marc continue sa lecture tout en se rapprochant d'elle. Son visage n'est plus qu'à quelques millimètres de celui de sa femme. Il crache les mots d'amour en lui postillonnant dessus. Elle se débat et d'un mouvement sec, elle arrive à se dégager et s'enfuit en direction de la porte. Marc, rapide, la rattrape, la maîtrise et la conduit jusqu'à leur chambre. Elle crie, mais Marc la muselle d'une claque magistrale. Sa tête vole et son chignon se défait libérant des longues boucles auburn.

Marc la balance sur le lit, faisant grincer les ressorts du matelas. Elle tente faiblement de se relever, mais il lui ordonne rester allongée sur le ventre. Tout en la surveillant, il défait sa ceinture en cuir noir et la plie en deux et fait claquer plusieurs fois entre ses mains. Nathalie, toujours couchée sur le lit, se met à trembler. Il joue avec la ceinture, augmentant la peur de sa femme. Quand, d'un mouvement rapide, il l'abat sur le dos de sa femme. Il frappe de plus en plus fort, améliorant la précision de ses mouvements et lacérer le bas du dos et les fesses de sa belle. Nathalie gémit et tressaute sous les coups. Des tâches de sang commencent à apparaître sur sa blouse en satin clair. Marc est excité par le bruit sec du cuir que fait la lanière lorsqu'elle mord la chair délicate de sa femme. Il sent son sexe se durcir. Nathalie perd connaissance. Son bourreau pose la ceinture, puis il s'assoit sur le lit, attendant qu'elle revienne à elle.


Il la regarde, admirant son beau visage rendu brillant par les larmes. Il est toujours excité, son sexe est douloureusement comprimé par son jeans. Nathalie bat des paupières. Marc se met à l'interroger :

— C'est quoi ces textos ? Qui est ton amant ? Qu'est-ce que tu lui trouve ?

Sa femme sursaute à chacune de ses questions tandis que Marc savoure la peur qu'il lui inspire.

— Parle !

— Je suis désolée. Ce n'est pas ce que tu crois, dit-elle finalement d'une voix faible.

— Mais bien sûr, et c'est quoi ? J'ai vu les messages tendres et ridicules! Tu as un amant ! Tu veux m'humilier ! Me ridiculiser ! Il vocifère sous l'effet de la fureur.

— Il m'écrit des choses gentilles. Il me fait rêver! finit-elle dire à mi-voix.

— Je ne te fais pas rêver peut-être ! tonne Marc, tu veux de l'amour et bien tu vas en avoir !

Nathalie gémit. Marc n'est pas seulement furieux, il est également très excité par la situation. Il soumettre cette salope et marquer son territoire sans attendre. Il la retourne, lui arrache sa blouse et retire son soutien-gorge, dévoilant des seins ronds et pleins.

— Je t'en supplie arrête !

Il ne fait aucun cas de ses supplications et défait la jupe avant de faire glisser le string le long des jambes fuselées de son épouse, dévoilant son intimité. Il sent l'humidité du sang sous ses doigts. Celle-ci anéantie ne bouge plus. Son visage est crispé par l'appréhension et la douleur, ses pupilles sont dilatées.

Sans attendre, Marc ôte son pantalon, libérant son membre érigé. Il glisse son genou entre les cuisses de Nathalie et les écarte avant de s'allonger sur elle et de la prendre brutalement. Elle laisse échapper un cri rauque, voilé par la douleur. Elle pose ses mains sur le torse de son violeur, dans une pitoyable tentative pour le repousser. Mais il est fort. Il lui immobilise les mains et s'enfonce davantage en elle. Il la pilonne. Son intimité est humide mais elle est serrée. Il se fore un chemin en elle tout en accélérant la cadence. Il suppose que chacun de ses va-et-vient la blesse au plus profond de sa chair. Elle doit également subir les séquelles des coups de ceintures. Cette prise de pouvoir, le stimule. Il se cambre et s'enfonce encore plus profondément en elle. Quand il sent que son plaisir est proche de s'échapper, il libère une de ses mains qu'il utilise pour comprimer la gorge de Nathalie. Celle-ci se débat pour sauver sa vie, tandis que son corps s'arque à cause des spasmes de l'asphyxie. Ses mouvements décuplent le plaisir de Marc qui libère sa semence dans un orgasme si puissant qu'il retombe sans force sur le lit à côté du corps immobile de la jeune femme.


Tandis qu'il plane dans une extase post-coïtale, il entend une énorme quinte de toux suivie d'une inspiration sifflante. Elle a survécu. Marc se sent soulagé, il ne voulait pas la tuer. Il esquisse un sourire cruel. Il va recommencer, lui faire payer encore et encore. Cette idée redonne vie à son membre, mais il se rajuste et quitte la pièce en lançant sa menace :

— J'en ai pas fini avec toi.

Il entend un léger bruit qu'il prend pour un assentiment. De toute manière elle n'a pas le choix. Il sort de la pièce sans remarquer le sourire douloureux de Nathalie. Elle a survécu ! Elle soupçonnait Marc d'avoir des penchants sadiques et elle n'a pas été déçue. Les textos avaient fonctionné au-delà de ses espérances. La souffrance pulsait dans tout son corps et pourtant elle se sentait proche de la béatitude. Le plus dur sera de lui cacher à quel point elle aimera les punitions qu'il lui infligera.


L'univers graphique de cette nouvelle est disponible sur  https://fr.pinterest.com/laerawork/brutal-et-sans-guimauve/

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