Car le babou ne rêve pas... §

Amine De La Mine

J'allonge mes foulées nocturnes

me touche mes les fesses en été

écoutant mes Ibliss condides

car le babou ne rêve pas.

Jm, Jc, des mots absurdes ?

Je, Tu, combien je l'ai fêté

mon train d'Alava, des rails fluides

car le babou ne se déplace pas.

Pfff, non, stop ! des détails perdus

des gravas soignés, fenêtre blindée

J'oublie la musique, mélodie stupide

Car le babou ne siffle pas.

Une poésie baroque, un poète mordu

des cafés solo, des sucres hâtés

il me faut une rime, je choisis cupide

car le babou ne m'aide pas.

§

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