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Carolyne
medusa
L'obscurité n'a de cesse de grandir,
Le cœur tambourine, en attendant le pire,
Dans des draps bleus, me voilà encore en train de gémir,
Cherchant l'orgasme attendu, ô fais moi jouir,
Entre tes si longues jambes et tes seins,
Ne dis rien, jusqu'à demain,
S'il te plais, assouvis nos démons, ô étreins,
Nous, moi, nos corps en suspends, tes coups de rein,
Tes longs cheveux envahissent mon âme,
Je suis toute à toi, dans ce jeu sans flamme,
Tu repartiras à l'aube, d'un autre, tu es la femme,
à mes yeux, tu es cette si grande dame,
Tes cheveux roux brillent au soleil,
à la limite du vermeil,
Tes yeux verts étincellent,
Ton âme qui m'émerveille.