Casse-pogne à la Nation...

Elric Le Guennec

Les temps sont finis, révolus, où mesdames, vous auriez pu savourer la rudesses de nos chers Vergerons et différents Tringailleurs de premiers choix. Leur haut pédigrée, forgés dans l'airain par des années de martelage, de tannages et d'affinages du cuir muqueux se perds, et la féminisation de notre société fait rage sur les sexes rugueux et noueux de nos ancêtres...

Pire, le mal dorénavant touche le siècle ! Tous se lopéfient ! Et dans cette débandade organisée dont le coup d'envoi sonna un mois de Mai jadis, arriva ce qui devait advenir : la mollesse et la torpeur prirent du terrain, et gangrenèrent la totalité du corps social, touchant jusque l'élite qui jadis répondait aux meilleurs quartiers de noblesse, et représentait l'avant garde de ce qu'une civilisation avait fait de meilleur dans le genre masculin, l'Armée !

Ce grand cadavres à la renverse emporte avec lui dans sa chute chacune de ses parties, chacun des individus qui le compose : Tout ces malheureux militaires désœuvrés qui dorénavant comptent plus de durillons sur leurs maniques que sur leur moignons virils, tant l'inactivité laissa cours à leur onanisme irréfréné ! Je peux retenir mes mots et affirmer le fond de mon cœur : L'armée est devenue une chieurie eunuque, ou une cohorte de branles-couilles passent leur menus moments à se polir le Chibron, rendant leur glands plus doux que de la plus douce des peau d'anus enfantin ! Alors que leurs phallus turgescents, poussés à incandescence devrait être le fer de lance de la nation et engrosser le monde de la splendeur de notre nation en plantant la chaude morsure de sa lame dans part ennemis des intérêts Nationaux !

Il est dorénavant temps de réveiller l'esprit martial qui gis au fond du militaire, et de donner à notre pays l'ampleur qu'il connut au temps de sa grandeur ! Il est temps de sortir les chiens de la niches ou nous les avons fait confiner pour leur faire connaître l'excitation des grands espaces, du vent leur taquinant l'échine !

Une armée de métier forme des fonctionnaires pantouflards sclérosés, tandis de que la conscription de nos jeunes les formait à l'égalité, au sacrifice pour la patrie, au respect, aux valeurs et au combat, que dis-je, à la Liberté !

Nous avons trop abandonné de nos principes aux lois du marché, il nous piétine désormais à grands intérêts, violant vos fils, vos filles et vos femmes dans l'intégrité pécuniaire en finançant un corps de mercenaires prostitués aux intérêts césaro-atlantistes !

Honte à vous qui avez abandonné l'esprit du combat et vous êtes résigné à votre étroit confort matériel ! Honte à vous qui avez laissé abandonner à un régime libéral inique le devoir qu'un état se doit d'allumer la lueur martiale dans chacun de ses plus jeunes cœurs par la conscription ! Honte à vous qui tolérez la sur-féminisation de nos jeunes par excès d'une paix chaudement acquise par une stratégie larvaire ! Vous signez l'arrêt entérinant l'acte dégénérescence de nos générations futures, les faisant tomber dans leur déréliction du statut d'être humain fier et libre à celui de bovins dévirilisés et content dans la torpeur de leur être ! Il est temps de réveiller en l'homme l'étincelle qui mettra feu aux poudre de leurs aspirations à la Liberté et de rendre au peuple de France la partie la plus dévouée de son corps : l'Armée !

Vive la conscription ! Vives les armées citoyennes ! Vive la France éternelle ! Et vive le peuple Français ! Aux armes citoyens ! Marchons ! Marchons ! Qu'un sang impur abreuve nos sillons !

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