11-Jenny ou l'Impensable Réchauffement
Cassettes VHS :...Le marin sort du bar, sa grosse main recouvrant presque toutes les fesses de la belle, direction les grosses lettres en Nèon Roses de l'Hôtel Paradis.
John Stoe a bien retrouvé les coordonnées de l'adresse d'Adrian Jefferson sur l'annuaire de Manchester. Il ne souhaite pas appeler car il ne sait pas trop comment présenter sa demande. Il préfère se rendre à l'adresse et sonner à la porte.
Jefferson habitait une petite maison mitoyenne de briques rouges typique de la banlieue de Manchester. Une porte Blanche, l'entrée de la maison donnait sur un petit jardin en fleurs.
John espère qu'il ne se fera pas jeter comme un vulgaire vendeur en porte à porte.
Il sonne à la porte blanche. Une femme cheveux gris, tailleur austère, se présente à la porte.
— Bonjour Madame, vous êtes bien l'épouse d'Adrian ?
— Oui pourquoi ? Qui êtes-vous ?
— Pardonnez ma démarche Madame, mais je suis le frère de Johan Stoe qui devait rencontrer votre mari, je dis devait car il est mort le soir même où il devait se voir.
— C'était il y a longtemps je crois ?
— Oui il y a plus de 15 ans déjà, mais nous n'avons retrouvé son adresse que récemment à la faveur d'un déménagement où nous devions faire le tri dans les vieux documents de mon frère.
— Entrez Monsieur ?
— John Stoe, désolé, je ne me suis pas présenté.
John ne devait pas faire d'impair sur le décès de Jefferson, en laissant comprendre qu'il est au courant.
— Vous vous souvenez de ce soir là ? Je n'aurai jamais imaginé cela, pour tout vous dire je ne savais pas comment me présenter.
— Je m'en souviens très bien, car mon mari adorait filmer, il avait un superbe caméra VHS, qu'il emmenait partout. Quand il appris l'accident, il s'est excité, il m' a dit "ce n'est pas possible, je devais le voir hier soir", ce n'est pas possible, il me l' a répété au moins 10 fois. Depuis il n'a jamais plus filmé, vous pensez bien que je m'en souviens.
— Vous parlez de votre mari comme s'il n'était plus là, questionne John.
— ll est décédé il y a deux ans, emporté par un cancer.
— Oh ! Désolé, je ne savais pas ! Acceptez mes condoléances, madame.
— Mais dites moi vous savez pourquoi, mon mari devait rencontrer votre frère.
— D'après ce que je sais il devait lui remettre un film, ce qui n'a jamais eu lieu de fait, et ni vous ni moi sommes bien incapable de savoir de quel film il s'agissait.
— Adrian après s'être arrêté de filmer à remiser tous ses films au sec au premier étage de la maison, venez voir.
Madame Jefferson lui ouvre la porte d'une chambre dont tous les murs sont tapissés de cassettes vidéo VHS du sol au plafond sur au moins deux niveaux, il y en a des centaines.
— Celle que mon mari devait donner à votre beau-frère est certainement ici, si vous avez le temps de les visionner.
— Vous m'accorderiez le droit.
— Et même plus, si vous pouviez m'en débarrasser, car je vais quitter cette maison pour aller vivre près de ma fille dans la banlieue de Londres, rien ne me retient plus ici et cette maison me rappelle trop de mauvais souvenirs. Je ne vois pas ce que je ferai de cette collection de cassettes.
— Si vous en êtes d'accord je passerai avec une camionnette ce samedi avec un collègue pour emmener toutes les cassettes, je ne sais pas si elles sont encore lisibles, mais cela serait dommage de les mettre en déchetterie.
— Vous êtes arrivés au bon moment j'ai pris RV semaine prochaine avec une association caritative qui se charge de récupérer tout ce que l'on ne veut plus dans les maisons.
— Merci Mme Jefferson et à samedi.
Aussitôt de retour au bureau de l'association, John expédie un message crypté à Ralph.
— Je viens de faire une découverte extraordinaire, Mme Jefferson a conservé toutes les cassettes VHS réalisées par son mari et elle me donne toute la collection. Merci de me contacter pour EXAMINER comment on peut faire pour les visionner.
A réception du message de John, Ralph ne peut s'empêcher de revivre la vision proposée dans le rêve avec Jenny ou Adrian Jefferson filmait. La vision devient soudain réalité et la collection de cassettes doit donc receler des informations importantes.
Ralph lui répond rapidement.
— John quand vous transférerez les cassettes essayer de voir si il y a un ordre chronologique au minimum, cela me permettra peut-être d'établir une stratégie pour les visionner.
Ralph détermine aussitôt le maximum de dates corrélées entre UFOS, Otan et pétrole situées avant la date du décès du père de Jenny. Il estime que Jefferson devait avoir 47 ans au décès, sachant qu'il était entré comme opérateur radar 20 auparavant celle lui donne la période à examiner. Rapidement sur les années choisies Ralph détermine 65 dates possibles.
John Stoe transfert chez lui dans le sous-sol de sa maison, une camionnette complète de cassette, plus de 1200 bandes VHS. Heureusement elles sont bien classées par ordre chronologique sur environ une quinzaine d'années. Par curiosité, grâce un magnétoscope vhs conservé par un de ses adhérents il visionne au hasard quelque cassette. Chaque cassette avait une durée de 60 mn, cela représente donc 1200 heures au minimum de film. Le résultat est assez décevant, effectivement Jefferson filmait un peu tout, des voitures, des fleurs, des oiseaux, des monuments, des spectacles, parfois des antennes sur son lieu de travail. John ne voit pas comment venir à bout de cette montagne de cassette même à 10h par jour c'est au minimum 120 jours, donc en réalité beaucoup plus.
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— Hello joli brune, je parierai bien que tu as une foufoune blonde.
Un grand marin vient de poser ses grandes paluches sur la cuisse d'une belle plante assise au tabouret du bar.
— Hé bas les pattes marin d'eau douce, pour voir il faut monter à l'hôtel en face !
— J'espère que les lits sont assez larges au moins !
— Pour ce que l'on a y faire c'est bien assez mon Loulou, alors tu viens ?
— Passes devant que je vois ton joli cul, ma brune !
Le marin sort du bar, sa grosse main recouvrant presque toutes les fesses de la belle, direction les grosses lettres en Neon Roses de l'Hôtel Paradis.
— Bonsoir les tourtereaux ! Qui paye la chambre, Monsieur ?
— Devines ?
— 300 Dollars Man
— 300 ??
— Si tu veux donner plus on est preneur rétorque la belle.
Finalement le marin chauffé à blanc sort la liasse de billets.
L'affaire conclue il embarque la belle jusqu'à la chambre. La jolie brune s'affole un peu à voir l'énorme boursouflure qui déforme le pantalon du mec.
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John Stoe ne comprend pas ! Première cassette film porno, deuxième cassette film porno, une troisième prise complètement au hasard, porno toujours.
Il commence à comprendre pourquoi l'épouse de Jefferson était si pressée de se débarrasser de ce stock de cassette.
Il vient de recevoir de Ralph le mail lui précisant les dates à privilégier pour le visionnage des cassettes, mais il est complètement abasourdi par cet amoncellement de vidéos pornos, comment cet homme pouvait-il passer son temps à regarder tout ça. Pourtant sa femme lui a précisé qu'il adorait filmer. Peut-être filmait-il aussi des scènes pornos !
Stoe demande par email à Ralph de l'appeler en urgence.
Ralph lui demande de prendre l'appel sur Watsapp, il sait que la communication sera ainsi sécurisée.
Le portable de John vibre, la fenêtre de Watsapp vient de s'ouvrir.
— Hé John vous avez un problème avec les cassettes ?
— Un sérieux Ralph, vous aviez peut-être raison en affirmant que Jefferson filmait
mais j'ai fait deux ou trois sondages au hasard sur les dates que vous m'avez fait parvenir, sur toutes les cassettes il n'y a que des films pornos, du coup j'en ai testé d'autres, idem toutes des pornos j'ai l'impression que la collection complète est en porno.
Ralph se remémore le rêve avec Jenny, c'était bien Jefferson qui filmait, de plus sa femme l'a confirmé, il y donc un truc qui ne colle pas.
— John, ce weekend, je descends vous voir ! Vous pouvez me loger ?
— Oui, c'est possible. J'ai une chambre de libre depuis que ma fille fait ses études à Londres, vous voulez vous faire un weekend film porno, je n'aurai pas cru ça de vous !
— On verra sur place, vous pourrez passer me rendre à l'aéroport ?
— Sans problème à samedi donc !
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Camouflage
Sur la route de l'aéroport en direction de la maison de Stoe, Ralph questionne John.
— Vous en avez testé d'autres ?
— Au moins 30 et il y en a plus de 120, ça devient vite lassant, vous introduisez la cassette et tout de suite vous avez compris.
— Vous n'en avez vu aucune en entier ?
— Vous prenez pour qui pour un pervers ? S'indigne John
— Non mais votre réponse me donne une idée ?
— J'espère que ce n'est pas de regarder les vidéos en entier ?
— Si on n'en a pas d'autres alternatives, répond Ralph en souriant.
Arrivé à la maison, Stoe présente sa chambre à Ralph pour qu'il y dépose sa valise.
— Venez on va descendre dans ce qui est devenu ma vidéo roof plaisante John.
Ralph est sidéré par l'amoncellement de cassettes.
— D'après vous ce sont toutes des films pornos.
— J'en ai bien peur !
— John pouvez-vous me retrouver ces deux dates s'il vous plait elles correspondent à des observations dans le secteur de la Base de l'Otan ainsi qu'a des observations corrélées à l'installation de plateformes pétrolières.
John est obligé de déployer un escabeau, il a été obligé d'aligner les cassettes jusqu'au plafond de la pièce sous peine de ne pouvoir y pénétrer, un comble pour une collection de pornos.
— Heureusement que Jefferson était méticuleux sur les dates, tenez Ralph les voici, attrapez-les; John les fait passe du haut de son escabeau.
Ralph retourne les cassettes, premier constat rien n'indique qu'il s'agit de films pornos, pas de jaquette expressive, un emballage blanc de cassette vierge avec simplement des étiquettes de dates et quelques lettres semblant correspondre à un code.
Deuxième constat, les bandes vidéos sont parfaitement enroulées comme si elles avaient été rembobinées, sauf en partie centrale ou elles semblent plus lâches comme si elles n'avaient été lues que sur cette partie.
Troisième constat qui attire l'œil de Ralph un morceau de scotch à l'arrière de la cassette sur l'encoche cassée empêchant le réenregistrement de la bande.
— John vous pouvez passer cette cassette s'il vous plait ?
— Attendez je vais même brancher mon projecteur vidéo, on sera plus à l'aise pour le spectacle, je n'ai qu'un petit moniteur vidéo sinon !
— Tenez prenez place. John indique un fauteuil à Ralph et éteint la pièce.
— Ah tiens je l'ai déjà vu celle là ! C'est le marin monté comme un âne qui vient faire hurler une fausse brune.
— Je vous en prie ! Avancez John, au moins jusqu'au milieu de la bande.
Le marin à disparu et un écran rond le remplace avec une ligne lumineuse qui vient le balayer comme une aiguille d'horloge.
— Merde c'est un écran radar où je ne m'y connais pas !
— Ecoutez il y a des voix, revenez un peu en arrière on a peut-être raté le début.
— Punaise c'est quoi ça ? J'espère que ne sont pas des missiles, ça se dirige droit vers le Boeing en direction de Londres
On voit à l'écran un opérateur se saisir d'un micro et d'un casque
— Vol QCA 8757, répondez vous avez un objet qui file vers vous à plus dix mille km/h, descendez, enclenchez la procédure d'atterrissage d'urgence.
— Hé Adrian ! Regarde ! Ce n'est pas possible, il file presque en angle droit, il sort des radars.
— Vol QCA 8757, stabilisez vous à 4000 pieds, l'alerte est passée, nous vous recalculons le plan de vol.
— Ici Vol QCA 8757 nous avons vu avec le copilote la lumière filer vers les étoiles, c'était quoi, ce n'est pas possible que cela soit un missile. ?
— Référence inconnue, signalons l'incident, bon vol et ouvrez l'oeil.
John et Ralph sont hypnotisés par l'écran et les paroles des contrôleurs aériens.
Ralph est encore plus scotché, la prévision onirique annoncée par Jenny se réalise, sous ses yeux.
Les deux spectateurs se regardent, ils viennent de comprendre que Jefferson a camouflé ses films sur les UFOS, repérés par les radars, au milieu des films pornos. Ainsi si quelqu'un tombait inopinément sur une cassette, il n'y verrait que du porno et n'irait pas plus loin. Sa stratégie état pour le moins très astucieuse.
— Hé bien ! Souffla Ralph on a du boulot, on sait ou chercher maintenant.
— Oui c'est époustouflant, on détient la preuve irréfutable que les autorités ont délibérément falsifiées des informations pour discréditer toutes les observations UFOS.
— Irréfutables, c'est nous qui le pensons, si on avance seulement avec nos bandes vidéos, au milieu de films pornos, réalisées par une personne qui n'est plus de ce monde et de surcroît avait arrêté de filmer exactement quand votre frère est décédé, je crois bien que nous ne pèserons pas lourd.
— Justement si vous pouviez trouver des dates corrélées un peu avant la date du décès du père de Jenny, peut-être trouverions nous la cassette qu'il voulait lui transmettre, j'imagine qu'il ne voulait pas lui remettre toutes les cassettes.
Ralph ouvre son ordinateur portable sur ses genoux pour effectuer quelques requêtes sur ses courbes corrélées avec celles de Jenny pour le Royaume Uni.
— J'ai trouvé quelque chose d'intéressant un mois avant la date fatidique, observations autour de la base Otan, mise en chantier de deux plateformes pétrolières et gazières, si vous pouviez trouver des cassettes dans cette période.
— En fait un mois avant je vais prendre la dernière cassette référencée, la précédente fais référence à plus de 5 mois avant, ça ne correspond pas vos dates.
John extrait la cassette précédente et en glissant la dernière dans le lecteur s'aperçoit que celle-ci n'aurait pas été rembobinée. Il enfonce la touche play du magnétoscope.
Cette fois-ci sur l'écran n'apparaît pas le balayage de l'écran radar, la caméra ne bouge pas et semble installée en extérieur pour embrasser un vaste panorama, sur lequel on ne distingue que peu de choses, de vagues éclairages de routes assez lointain. Soudain une boule lumineuse semblant venir du haut de l'écran, en occupe tout l'espace avec un flash blanc aveuglant.
L'intensité lumineuse diminue rapidement, laissant deviner, au loin, une sphère lumineuse légèrement ovoïde. La caméra zoom sur la lumière qui occupe maintenant un bon quart de l'écran. Un rectangle de lumière vient de se détacher en dessous de cette forme et laisse apparaître trois êtres " humanoïdes" nimbés de lumière. A cet instant un véhicule, sorte de bus sans fenêtre s'avance au pied du véhicule de lumière, les formes humanoïdes semblent pénétrer à l'intérieur. Le bus recule et soudain la lumière de l'engin semble se rétrécir et disparaître comme un éclair dans le ciel. La scène devient noire on n'y distingue plus rien ni bus ni autre chose.
Ralph et John en sont maintenant certains, il s'agit de la bande vidéo qui devait être remise au père de Jenny.
Si il subsistait un doute chez eux de contact extra terrestre au plus haut niveau sur terre, il est désormais complètement dissipé. Mais cette vidéo qu'ils viennent de voir et qu'il leur faudra revoir au ralenti pose en fait énormément plus de questions qu'elle n'apporte de réponses.
Nos deux spectateurs sont plus scotchés, devant ce film muet, que s'ils avaient assisté à une super production hollywoodienne.
— Ralph si on fait le point sur ce qu'on vient de voir, Jefferson ne veut plus garder pour lui ce qu'il a vu il veut le partager avec mon frère, avec qui il avait sympathisé, celui-ci qui a peut-être trop parlé à tort et à travers qu'il allait être en possession d'un document capital sur la vérité des UFOS a été assassiné le soir de leur rencontre. A l'annonce de sa mort Jefferson prend peur et arrête tous film vidéos. Mais alors je ne comprends pas pourquoi ils ne s'en sont pas pris aussi à Jefferson ni chercher à récupérer ses films.
— Ceux qui cherchent à étouffer les contacts avec les UFOS ont foutu la trouille à Jefferson, de plus, deux morts à proximité d'une base Otan dont un employé cela aurait certainement posé plus de questions qu'autre chose et pour les cassettes leur enquête ne les aura pas porté bien loin comme vous à moins d'être porté là-dessus !
— Ralph, je ne vous cache pas que ce l'on vient de découvrir me donne plus que des frissons, comment peut-on tuer ( deux fois ici au Royaume UNI) pour cacher au monde l'existence des UFOS sur terre. J'ai l'impression que l'on vient de voir des choses que l'on aurait pas du voir, pourquoi ? Je ne sais pas ! Mais c'est comme si le vent froid de la mort commençait à souffler.
— Chaud John, chaud très chaud même, John ! Réfléchissons chaque fois que des UFOS sont observés sur terre, c'est corrélé à des événements pétroliers, on en a encore la preuve avec ce film.
— Mais enfin Ralph ce ne sont pas les UFOS qui extraient le pétrole sur la terre jusqu'à preuve du contraire, ce sont bien des humains qui l'extraient, le transforme le consomme, en font du plastique et des carburants.
— Que l'on brûle encore de façon exponentielle des carburants tous à base de pétrole et qui sont tous des accélérateurs d'accumulation de CO2 dans l'atmosphère, avec en tête les USA, premiers producteur Mondial de Pétrole, premier consommateur Mondial de pétrole et premier pays au monde pour l'observation des UFOS, alors que depuis au moins 30 ans on sait qu'augmenter la combustion de pétrole et de gaz ne fera qu'augmenter de façon irrémédiable la température sur terre avec les taux actuels de CO2 , là est la question et elle est fondamentale.
— Tu veux dire qu'il y aurait sur terre des personnes qui ont intérêt à ce que la terre deviennent une étuve et en partie invivable.
— Oui, invivable pour les humains, John, invivable pour les humains, on en pourra ni faire vivre et surtout nourrir des milliards d'êtres humains sur une terre avec une température moyenne de 25°C, ce qui signifie qu'il y aura des continents entiers où la température dépassera plusieurs mois par an les 50° et deviendront par conséquent des déserts.
— Que viendraient faire les UFOS dans ce changement climatique, et qu'est ce que les hommes auraient à y gagner.
— Pour les UFOS ou êtres extra-terrestres accueillis par des humains sur une base de l'Otan, cela reste à découvrir. Pour les hommes, une extrême petite minorité, c'est l'appât du gain à court terme et la puissance infinie donnée par l'argent dans notre modèle économique, le sort de l'humanité n'intéresse pas ce genre de personne et l'a jamais intéressé.
— Ralph vous croyez, avec ce que vous venez de me dire, que nous deux on pourrait changer quoi que ce soit dans ce processus ?
— John, je me suis juré que ceux qui ont assassiné Jenny, ne doivent plus faire la loi sur terre et je travaille depuis des années pour que ceux qui sont responsables, chaque jour qui passe et chaque jour passé de l'accroissement du C02 sur terre, payent pour ceux et celles qui ni sont pour rien !
— Ralph, je vous admire, mon frère était un homme un peu de votre trempe, ils n'ont pas hésité à le supprimer et sa fille aussi
— Je peux me tromper John, mais il y a maintenant une différence fondamentale, Jenny et son père ne savait pas qu'ils étaient en danger nous si, c'est une raison nécessaire pour avancer, nous connaissons le risque. Jefferson savait qu'avec ce qu'il faisait qu'il se mettait aussi en danger, mais avec les précautions qu'il a prises il nous a transmis des informations fondamentales.
— Par quoi commencer, la tâche est immense
— John je ne veux pas vous commander, que cela soit clair entre nous, mais si vous pouviez, maintenant que nous savons où chercher dans toutes ces bande,
Numériser toutes les vidéos correspondant aux dates que je vous ai envoyées.
Nous aurons ainsi une base de référence unique pour le Royaume Uni.
— Sacré chantier même si cela réduit la prospection parmi ces centaines de bandes vidéos.
— C'est pour cela qu'il faut débuter tout de suite. Maintenant je vais profiter de ma visite ici pour recontacter une personne qui pourra peut-être nous renseigner. J'aimerai bien savoir ce qu'il s'est passé dans le pétrole autour de la date de cette rencontre du 3° Type sur la base de l'Otan.
Ralph ne peut, c'est devenu un rituel, se retenir d'envoyer un message mental à Jenny.
(— Tu vois on fais vite ! Mais si tu m'entends quelque part, aide-nous ! J'ignore où tout ça va nous emmener ! )