Ce rêve de toi

Ce matin je me suis levé avec un mal de côtes, je ne comprends pas,
En faite ça venait du rêve que je venais de faire cette nuit là, C'est un peu flou, je ne m'en souviens plus vraiment,
J'étais chez toi et je me réveil par un coup de vent,
La tête tournée, mes yeux s'ouvrent,
Écarquillé, c'était ton souffle qui venait et partait de ma peau,
Je ne savais pas quoi faire j'avais mon cœur tout chaud,
Et d'un coup je me retrouve habillé et coiffé,
Toi tu étais sublime avec ta mise en beauté.

J'avais beau la regarder avec innocence,
J'avais beau à me rendre compte de ma chance,
Prise de conscience,
J'étais immobilisé, perdu par la rancœur,
Les renouveaux de ces battements de cœur,
J'étais comme dans un rêve d'enfant,
Un bout de magie qui fit scintillant.

Je n'arrivais pas à décrocher un mot,
Et d'un seul coup on se retrouve en voiture,
Partie à la conquête du voyage, des formes et des cambrures,
Je nous vois encore sur cette plage, tes motifs, tes parures, Me sortant de mon rêve quelqu'un me sort,
« Bon prend lui la main et dit lui que tu l'aimes »,
Je réfléchie un peu, ce n'était pas vraiment évident,
C'est ainsi que j'ai compris que j'étais la pour me remettre avec.

J'avais beau la regarder avec innocence,
J'avais beau à me rendre compte de ma chance,
Prise de conscience,
J'étais immobilisé, perdu par la rancœur,
Les renouveaux de ces battements de cœur,
J'étais comme dans un rêve d'enfant,
Un bout de magie qui fut scintillant.

Tout le monde attendaient que l'ont se remettent ensemble, Je ne me souviens plus de si nous nous sommes parlé,
En tout cas je me souviens, et toujours ma main tremble, Que tu m'avais fait un baisé,
Mes poumons se sont embrasé, mes hormones s'allumaient, J'y ai vu des éclaires, dans ma tête,
Je me suis senti léger.

J'avais beau la regarder avec innocence,
J'avais beau à me rendre compte de ma chance,
Prise de conscience,
J'étais immobilisé, perdu par la rancœur,
Les renouveaux de ces battements de cœur,
J'étais comme dans un rêve d'enfant,
Un bout de magie qui fit scintillant.

Ce matin je me suis levé avec un mal de côtes, je comprends maintenant,
Tout à disparu quand mes yeux se sont ouverts,
D'une larme qui me coulait sur la joue,
Je me serai cru dans un rêve d'Inception,
Mon cœur ne battait toujours pas,
Mes poumons manquaient toujours d'oxygène,

Face à la réalité je m'ouvre les veines,
Ces filets de sangs pourpres, mais quelle peine,
Les gouttes de sangs qui s'affolaient sur le sol,
Comme une petite pluie,
Tombé par terre je revis ma vie,
Et tu sais quoi ? Non ?
Bien, la pire souffrance, ce n'est pas la douleur de mes écorchures,
Mais ce sont les derniers souvenirs, juste avant de mourir.

                                                                     [Adamant-St-Exhume'']