Circulez, y a rien à lire !

Je tiens des courbes statistiques de mes nombres de lectures, que voulez-vous, j'ai une culture scientifique, on ne se refait pas littéraire en cinq minutes. Fort de toutes les données, mon nombre moyen de lecteurs sur une année se situe, par texte à 29. Je sais, ce n'est pas folichon, poil aux nichons. Si j'analyse les pics de 53, 53, 46, 42, j'en arrive à la conclusion, qu'hormis les amis qui me suivent, seuls les titres peuvent attirer quelques curiosités étrangères. Je cite dans le sens anti trigonométrique : « l'IA » 53. « Vive la chasse ! » 53. « Pourquoi écris-tu, Hervé ? » 46. « Hervé, l'avatar. » 42.

Je passe donc ces entrées dans la moulinette de la courbe de Laplace-Gausse et là, je mets une belle formule statistique du genre:  (1 +x)ⁿ = 1+nx/1! n(n-1)x² / 2! + …

 Bon, elle n'est que moyennement appropriée, mais elle était déjà toute écrite sous Word, de plus elle ne sert strictement à rien, car les statistiques n'aiment que les chiffres et détestent les lettres. Pas mieux…

Analyse sémantique, car il faut toujours donner un sens aux résultats que l'on trouve par hasard ou que l'on ne découvre point de côté.

Pour « L'IA » et « Hervé, l'avatar », on touche à des notions d'actualités sur l'évolution de la société, créant une rupture épistémologique dans notre herméneutique unique de penser le Monde inique.

« Pourquoi écris-tu, RV ? On touche ici, à un sujet personnel qui nous interpelle tous en tant qu'écrivaillons ou qu'écrivains confirmés ou encore en tant que votre gros feignard de serviteur.

« Vive la chasse ! » Titre provocateur et controversé.

Donc, je prends la résolution dans un but principalement racoleur de n'utiliser que des titres qui attirent l'attention, comme : « Le jour, c'était la nuit d'ailleurs, où j'ai baisé… votre femme. » ou encore « Je suis le concepteur de la Machine Virtuelle à remonter les montres bracelets mécaniques. »

Je sais, c'est très moyen today, mais j'ai encore un peu de fièvre et une bougie qui ne s'allume que quand elle y pense, qui mal y soit.