Cocos, peanuts.

Christophe Hulé

Mon propos est que chacun, est-ce un bien, est-ce un mal, pense détenir sa vérité.

L'important n'est-il pas de se supporter soi-même et de rester indemne dans ce Grand Merdier qu'on appelle la vie. (avec F. A.).


C'est une forme de sublimation salutaire que beaucoup pratiquent, mieux vaut un punching ball qu'un être qui ne nous a rien fait.

Les saloperies en tout genre nous poursuivent, quelque soit notre âge, ou notre rage.

Se faire larguer, le harcèlement des petits chefs au boulot, les trahisons de ceux qu'on croyait proches, y compris et surtout de la famille, les humiliations au quotidien, etc.

Aimez-vous les uns les autres!!! (avec F. A.).


Ah, j'allais oublier un détail, comme dit ma femme, ce sont les petits détails qui font les grands bonheurs. (avec HL, au sujet de Colombo).


L'objectivité est plutôt clinique, être au contraire subjectif pour se faire du bien. Ceux qui voudraient nous en dissuader ne font que montrer leurs cartes.

Ce sont les raisons de la colère qu'il faut éradiquer. (avec F. A.).


Être seul n'est pas s'ennuyer, bien au contraire, faire ce que l'on aime faire, plutôt que tout ce temps perdu avec ceux qui jamais ne vous ont compris, qui jamais ne vous comprendront. (avec F. A.).


Jamais dans ce fleuve tu ne te baigneras dans les mêmes eaux! Alors ne regrette rien. (avec F. A.).


J'ai trouvé une recette qui en vaut bien une autre, pratiquer l'humour, être disponible, fuir les ragots, mais taper du poing sur la table, uniquement face à la personne concernée.

J'étais sans doute prédisposé car je ne me suis jamais pris au sérieux.

Le bémol est toujours le même, ceux qui ont le pouvoir que cette putain de hiérarchie d'un autre âge leur a donné.

Là j'avoue être impuissant. (avec F. A.).

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