Combattre.

Combattre. Toujours cette envie présente dans mon corps, qui quémande ta venue. Mais tu n'auras rien, que des cachetons par calmer mon angoisse paralysante. Tu ne dépendras plus de mon organisme, non non non ! Combattre, en ai-je la force ? Je tremble comme une gamine qui aurait égaré sa mère. Tu me manques sataner Vodka, toi celle qui réchauffait mon âme. Ma seule amie, qui flirtait avec mon cœur, tout petit. Mais c'est la rupture, tu ne serais qu'un poison à maudire et je t'abomine de m'avoir fait ta prisonnière. Tu ne m'auras plus, c'est fini tous nos délires d'ivresse et de décadence. Le gout amer me dit que tu me manqueras. Mais combattre, te combattre il le faut. 

Pour combien de temps…