Commentaires 41.

Christophe Hulé

Troublants sont ces propos, qui vous les a soufflés ?

Pardonnez cher ami qui partagez ma couche, ils sont de moi.

Allons, sottises ! Une femme n'est point faite pour penser !

Vous m'en voyez navrée, mais de ce triste aveu je vous remercie.

Pas de quoi chère amie, comme l'horloger je remets les pendules à l'heure.

Grand bien vous fasse, voilà une saine occupation.

A propos d'heure, avez-vous donné des ordres aux cuisines ?

Non point, je ne sais pas ordonner, ces gens qui vous servent n'en ont nul besoin.

Ma femme je suis las de cet échange, permettez que je me retire dans mes appartements.

Faites donc Monseigneur, mes malles sont prêtes et je retourne chez ma mère...

Que me vaut …

Que vous haïssez tant.


"Je ne saurais mentir très chère

A faire croire que de ses vers je connais et la pièce et l'auteur

Mais je ne serai vaincu que le temps d'une énigme

Car ma vengeance sera plus grande que ma blessure. »


On méprise parfois les insectes, mais valons-nous mieux? (avec Danielle).


Oui Mary, que le meilleur compagnon reste soi-même, certains diraient que c'est notre pire ennemi. Si on doit attendre d'accueillir l'autre une fois cette affaire réglée, c'est se condamner à la solitude à vie. (avec Mary évidemment).


Pas sûr, c'est une image, l'idée est de ne pas tendre la perche à qui n'en vaut pas la peine. N'importe quel abruti peut vous causer du tort.

Ne pas sous-estimer le force de la jalousie ou de la bêtise. (avec Mary).


La liberté c'est de rester soi-même, donc de ne pas s'adapter à ce que les autres attendent.

Un caractère libre et tranché dira: "c'est à prendre ou à laisser".

Les plus intelligents prendront, les autres ne valent pas la peine qu'on s'y arrête.

Ce n'est pas de l'orgueil, il n'est pas admissible de passer sa vie à raser les murs et regarder ses pieds. (avec Mary toujours et à jamais).


Mes pens et mes joies sur ce site ont fait long feu

Peu s'épanchent en ce lieu qui n'est que terre aride

Rien ne pousse et tout meure roches et cailloux

Un ou deux coups de cœur  comme de petits miracles

Quelques fleurs sauvages gonflent leurs pétales

Et parfois s'épanouissent un ou deux commentaires

Je cherche en vain quelque oasis quelque coin ombragé

Ou quelque humanité pour faire court  ou trop long

Peut-être serait-il plus sage de rester dans son coin

De mettre ses écrits dans des classeurs reliés

Placarder en vain et finir au placard ce n'est pas nouveau

Écrire n'est-il pas un message à la mer

Seuls les coquillages répondent ou quelques petits crabes désœuvrés

Comme l'écume au bout des vagues nos écrits s'évaporent

Derrière chaque Chateaubriand raté bat un cœur

Si le monde était peuplé de génies qui nous donnerait envie

De déployer nos ailes pour donner le meilleur

J'aime qui écrit j'aime qui crée c'est ce qu'il y a de plus louable

Créer c'est se retrouver peu importe la forme ou le fond

Ceux qui n'ont pas d'imagination ne rêvent que de guerre

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