Commentaires à hue et à dia.
Christophe Hulé
Plus de timbres rouges, on vous propose d'écrire votre texte en ligne. La Poste se charge de transformer tout ça en vrai courrier sous enveloppe, ils sont vraiment timbrés! (avec F.A.).
Tout le monde a raison, car chacun a ses raisons.
La vérité c'est le système D pour ne pas trop boire la tasse dans cette eau boueuse qu'est la vie.
La tolérance, la Loi, tout ce qui permet de ne pas se dépecer les uns les autres, ne sont pas vérité mais expédients.
On pourrait dire que ces marchands de mort, ces fanatiques, ont leur vérité.
Je préfère parler de concepts pour s'aimer ou se détruire. (avec F.A.).
Personne ne devrait craindre de se sentir différent, tant qu'on ne fait de mal à personne, on a toujours le droit de penser ce que l'on veut, de vivre comme on l'a choisi.
Progresser c'est peut-être aussi se débarrasser des contraintes, tant que faire se peut, et de tous ceux (tout ce), qui vous esquintent.
Se représenter un gigantesque doigt d'honneur pointé très haut jusqu'aux étoiles. (avec F.A.).
" L'enfer c'est les autres".
S'aimer soi-même de plus en plus, de mieux en mieux.
Savoir qu'on a un peu de talent, qu'on sait faire un tas de choses, qu'on réfléchit bien.
Se faire des compliments.
Prendre ces "autres", ces "gens" comme la surface des choses, comme un passage obligé.
Cesser de se croire redevable et de tendre la main à n'importe qui, n'importe quand, n'importe comment (Ange).
Quand on s'est (enfin) entouré de choses ou de pensées qui font du bien, on peut déployer ses ailes.
Alors tous ces crapauds en bas se sentent perdus et cherchent une autre proie. (avec F.A.).
Respecter l'autre, c'est lui reconnaître sa dignité.
Aucun filtre frelaté, comme, par exemple, le statut social, et chacun pourrait à loisir allonger une liste qui paraît infinie.
Le respect a toujours été rattaché à une pseudo-hiérarchie, sur la base d'un concept qui peut bien remonter à la relation entre le maître et l'esclave.
Respecter quelqu'un, c'est lui reconnaître un vécu, du courage, et plus on est "petit" et opprimé, plus on est respectable.
J'enrage de voir ce tour de passe-passe de nos politicards, qui ont su reconnaître un temps (et enfin) l'hommage qui est dû aux "invisibles", ou encore ceux qu'on appelle les "petites mains".
Est-ce démagogie de dire qu'ils valent cent fois ces énarques qui semblent ne pas comprendre grand chose de ce qu'est la vie.
Il y a aussi ce respect galvaudé du parler de banlieue.
Le respect ne vaut rien s'il est à sens unique.
Respect de l'État de Droit qui fait que ta vie n'est pas une jungle.
Ceux-là aussi veulent le beurre et l'argent du beurre.
Je précise ici que le jeu de mot est fortuit. (avec F.A.).
Le prix du bonheur est très élevé hélas.
Quelques instants d'extase pour des années de traversées du désert.
Parfois on se demande si ça vaut la peine d'avoir vécu ces instants.
Parfois je me demande si une vie dépourvue des ses passions ravageuses ne serait pas moins douloureuse. (avec Poulemi).