COMMUNES PAR COMMUNES (3)

Aujourd‘hui nous finirons la visite de ces toponymes économisant tant de temps et d’encre aux habitants lors des saisies de leur adresse.

Une deux-voies nous amène à By, ténu bourg hanté, trou où l’on chevauche de grands vélos grecs sur des allées et avenues interdites aux sens interdits. Peu croyant, on autorise à By le nudisme reprenant le dicton local : A By, ne fait pas le moine.

Prenons un peu de repos à Oô entre les troncs d’hêtres dans une sorte de double filet où l’on y met la viande, c’est l’hamac d’Oô.

A Py t’y es quand tu discernes du bois d’oliviers, les étables rondes en pierre d’Eu, entourée de pommiers heureux qui donnent son renom à Py. La marche y est facile car Py est plat. Jadis, avant que Py pète en 1789, Py était très religieux.       

On fera le tour de Ri sans oublier son célèbre gâteau et ses brocs ouvragés. Après n’avoir croisé que des chauves sous Ri, les pères de Ri effraient, car on porte hirsute et aux nues la barbe à Ri, ayant aussi l’œil sur l’espion qui mata à Ri les otaries invitées et les canes ici naines. Mais à Ri c’est le désert, car fait rare Ri n’a pas de garage, alors attention aux pannes à Ri.

Si Ry est connu pour ces noix qu’on aime à Ry gauler, c’est le rot à Ry qui  fait le plus pour Ry.

A Bû, siège des AA une seule question angoissante se pose : Qui à Bû boira ?  

Oz est réputée pour son université de magicien. Sinon d’Oz on dit que c’est une ville mesurée, malgré ce proverbe masquant un passé tragique : « Ovaire d’Oz, bouche close »