Constellar(1): François
Cédric Yali
Il y a trois sortes d'hommes selon moi. Ceux qui connaissent leur mal et réussissent à lutter contre. Ceux qui connaissent leur mal et vivent bien avec . Et enfin, ceux que je hais par dessus tous; ces hommes qui sont noyé par leur mal. Quoi qu'on dise Cédric avait cette manie d'avoir une certaine prestance et un respect des choses. Cela malgré son appartenance à la dernière des catégorie .Le couteau était planté là. C'était un couteau militaire avec une lame qui était entretenue. Une lame qui brillait dans ce lieu peu éclairé. Enfoncé d'environ quelques centimètres dans le bois. Planté de manière à être identifier au premier coup d'œil par un expert. De manière à se que l'on puisse voir le message écrit mais il s'en foutait, il l'avait reconnu. Bien sur qu'il avait reconnu. C'est quand même lui qui l'avait acheté à l'époque. J'attendais patiemment en haut là ou était installé l'orgue. François était toujours en retard. C'était un trait de caractère contre lequel il n'arrivait pas à lutter. Même quand il était près deux heures à l'avance vous pouviez être sur qu'il serai en retard. Quand il rentra dans l'allée Cédric venait de sortir un cigare. Pas une de c'est imitations que fumait les pauvres gens honnêtes; celui la je pu le reconnaitre et l'authentifier. C'était un cubain. Pas n'importe quel cubain. Un Montecristo. Je reconnu la forme. Barlo adorait s'enfumer avec sans quand j'étais en taule.Bref, quand François vit qui était là, sa gueule c'est décomposé en deux-deux. Bizarrement Cédric eu un sourire en le voyant.
-Tiens une petit couille !!
-C'est toi qui a envoyé cette putain de lettre ?
-Mon petit chou sache que si j'ai envie de te botter les fesses j'ai pas besoin d'envoyer une lettre au préalable répondit Cédric en allumant son cigare avec une allumette. François commençait à avoir le visage rouge. Ça devait bien faire 6 ans qu'il ne s'était pas vu. Enfin ça c'est selon moi. François sortis son arme.
-Putain , tu te trouve drôle ? Demanda t-il en pointant son arme en direction de Cédric.
-Tu ne trouve pas et avant d'avancer des théorie fumeuse tu devrais essayer d'observer. Quand François aperçu le couteau, il ne compris pas. Il se dit que c'était impossible. Cédric sortit un couteau de la même forme que qui était sous ses yeux et posait comme question:
-T'as le tien ?
-Biens sur dit Francois en le sortant de l'intérieur de la poche intérieur de son parka.
Les deux avait compris la vérité. et avant qu'il s'entretue je leur dis.
-A mon frère d'arme
-Donc tu es de retour !
-Avec un plants et de l'argent à sa faire...
À suivre...