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M Minosa

Deux corps, deux amas de chairs s'entremêlant avec pour complice l'huile chaude et relaxante. 
Une jeune fille en tenue d'Eve, regardant celui qu'elle voulait depuis le tout début. Les mains du jeune homme descendait délicatement vers son corps qu'il considérait comme de la porcelaine. Cette créature fragile remplit de désir cependant. Un regard suffit pour comprendre que le lien était fait, indéfectible mais non moins interdit pour le moment. Des caresses secrètes, des mots avoués au détour d'un couloir. Tout ceci se faisait dans le plus secret.

Leurs caresse devenaient de plus en plus répétées, leurs souffles s'accéléraient, leurs pupilles se dilataient. L'envie emplissait la pièce d'une chaleur assourdissante. Un instant, une minute, vêtements à terre et leurs corps s'entremêlaient déjà.
Leurs passion devenaient dévorantes, ce n'était plus le désir mais une pulsion animale qui les rendaient sauvages et dénuées d'humanité, de bon sens. La morale aurait voulu qu'il se retiennent mais le lien était trop fort. Un regard ardent et elle comprit: il sortait mystérieusement les menottes puis un bandeau. La jeune fille tendit cette main tel ce cliché de Mademoiselle Steel, se laissa faire comme la proie qu'elle était.

Les menottes scratchés autour de ses poignets fin marqué par une tortue enroulés autour des barreaux du lit, leur animalité alla au comble de leur limite. Il la retourna, et elle telle la biche apeurée lâcha un gémissement mi plaisir-mi surprise. sa tête se réfugia dans l'oreiller alors qu'il entamait une langoureuse mais sensuelles danse avec ses hanches.  Danse qui était à la fois une torture et un réel plaisir. La main du dominant s'enroula autour de sa chevelure blanche et lui ordonna de ne pas retenir ses cris de plaisir: " je veux t'entendre, ne retiens pas mon amour".  Elle suivit cet ordre à la lettre et l'appartement silencieux se transforma en un concert charnel où se mélangeait cadence de deux corps, cris et râle de plaisir et sueur du à l'effort intense.


La tonalité arriva bientôt à l'aigu et leurs corps finirent par fusionner, ne former qu'un: c'était l'apogée de leurs plaisir commun. Se retirant mais se réfugia prés de son cœur pour l'ultime étreinte. Leurs mains se mêlèrent, leurs jambes s'entrecroisèrent et leurs cœur parla pour eux-mêmes. Leurs yeux trouvèrent leur chemin, leurs lèvres scellèrent cet instant et ils prononcèrent les mots qui allaient scellaient leur destin.: "Je  t'aime"

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