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Corps à corps
dimir-na
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Sueur à mon coeur, tu as volé mes larmes, toutes nobles retranchées, dans le fond, ne sont que rus libertés .
Impudeur au gré du vent, l'audace de me croire encore vivante, donne des rides à mon existence, là où la jeunesse sourit avec insouciance .
Liquide sans le sang, sous les paupières encore existantes, éteins ton parfum, les cils à s'y méprendre, aiment encore les vagues vie.
Rouge-gorge tendresse
Dimir-na