Je n'avais encore jamais assisté à un effeuillage burlesque. J'avais tout de même vu le film Tournée de Matthieu Amalric, les noms de Mimi Le Meaux ou de Dirty Martini m'étaient donc familiers. Je me souvenais avoir trouvé ces femmes superbes.
Juliette, une ancienne amie de la faculté perdue de vue, donnait ce soir-là une performance et m'y avait invité. C'était elle qui m'avait recontacté, par le biais de les réseaux sociaux. Nous avions commencé par prendre un verre près de la gare Montparnasse, alors que je m'apprêtais à passer le réveillon avec mes parents. Toujours célibataire à trente trois ans, je reconnais que je passais la plupart de mes vacances chez eux. Je sortais d'une relation longue et n'avais pas envie de me remettre en couple tout de suite. Je me contentais de profiter de la vie en accumulant les conquêtes, les plans culs, les sex-friends.
En retrouvant Juliette à la gare, après tant d'années, je la trouvai changée. En bien, il faut le dire. A l'époque, je la trouvais jolie mais ne craquais pas pour elle pour autant. Juliette était mon amie, ça s'arrêtait là Je crois qu'elle, en revanche, nourrissait des sentiments – du moins du désir – à mon égard. Mais je n'en ai jamais profité. Je tenais à notre amitié et je ne préférais pas la faire souffrir.
Juliette caressait le rêve de devenir comédienne, mais sans trop y croire. Elle me répétait que pour réussir dans le monde du show business, il fallait faire un trente six – voire un trente quatre, ce qui n'était pas son cas. Personnellement, ses rondeurs ne m'avaient jamais dérangé ; je les trouvais même plutôt agréable. J'avoue qu'il m'était arrivé une fois ou deux de fantasmer sur ses formes. Tout particulièrement à ses seins. Evidemment, je ne lui avais jamais dit. Quoiqu'il en soit, avec l'effeuillage burlesque, Juliette semblait avoir trouvé sa voie et j'en étais heureux pour elle.
Ne souhaitant pas y aller seul, je m'étais rendu au spectacle en compagnie de Laure, ma partenaire sexuelle du moment. Comme elle était ouverte à différente forme de sexualité : bisexualité, triolisme – l'idée d'aller reluquer de belles femmes pulpeuses se déhancher, les seins et les fesses nues, la séduisit immédiatement.
Le thème de la soirée était "burlesque chez les vampires".
Nous nous étions retrouvés sur la ligne 2 du métro parisien. Ce jour-là, Laure portait sous son manteau une robe sexy (qui épousait ses formes à la perfection) et des bottes noires à talons. Pour l'occasion, elle avait coupé ses cheveux à la façon de Joséphine Baker. Bref, elle me faisait bander. Durant le trajet, je ne pus m'empêcher de la filmer avec mon smartphone. Laure fit mine de se cacher le visage avec sa main mais je savais qu'en réalité, elle adorait ça.
La salle était petite – celle d'un modeste cabaret de quartier – mais comme nous étions arrivés en avance, nous avions pu nous mettre au fond, dans le noir – au cas où nous viendrait l'idée de faire des choses peu catholiques durant la représentation.
On annonça le début de la représentation et l'obscurité se fit. Après quelques instants de patience, on entendit les premières notes d'une musique sexy. Puis, un faisceau de lumière rouge dessina les contours voluptueux d'une belle jeune femme qui dansait gracieusement, nue, seulement recouverte d'une cape rouge. Je reconnus Juliette – qui portait le nom de scène de "Cindy Curvy". J'avais gardé en tête l'image d'une petite blonde à lunettes sage et studieuse, toujours un bouquin à la main. Le personnage aux fausses dents de vampires, qui s'ébattait sous mes yeux, était aux antipodes de mon ancienne amie. ce qui, je l'avoue, n'était pas pour me déplaire.
- J'adore quand elle remue ses gros seins, me susurra Laure au creux de l'oreille.
Ma partenaire appréciait encore plus les grosses poitrines que moi.
Le spectacle était à la fois sexy et drôle. A mesure qu'il se déroulait, je sentis croitre le désir en moi. Aussi, je ne pus m'empêcher de caresser la cuisse de Laure. Celle-ci entreprit alors te tester mon excitation. Posant une main sur mon entrejambe, elle réalisa à quel point mon sexe était dur. Discrètement, elle déboutonna ma braguette et entreprit de me branler, par jeu. Le fait d'être entourée décuplait son excitation.
Tandis que la main de Laure s'occupait de mon sexe, je me délectais visuellement des formes de Juliette. J'avais la sensation étrange et agréable de prendre du plaisir avec deux femmes en même temps, mais sans coucher avec aucune d'elle.
Je pressai finalement le poignet de Laure pour lui signifier que j'allais jouir. Alors, elle se baissa dans le noir et pris mon sexe entre ses lèvres charnues pour avaler tout mon jus. Je me retins de pousser un cri de plaisir. Laure savait vraiment y faire !
On entendit alors des applaudissements. Le temps que la lumière se rallume, j'avais eu le temps de reboutonner ma braguette.
Nous avons attendu à la sortie car je tenais à féliciter Juliette pour sa prestation et, par la même occasion, la présenter à Laure. J'avais en tête un scénario torride pour le reste de la soirée. Je reçus alors un SMS de sa part : Ne m'attends pas. J'ai des pinces à serrer. Ca m'a fait plaisir que tu sois venu, j'espère que ça t'a plu. Un peu déçu, je lui textais à quel point j'avais aimé son show et lui fit part de mon désir de la revoir très vite.
Ce soir-là, je rentrai avec Laure – celle-ci vivait avec son petit ami. Il était donc exclu d'aller chez elle. Elle lui avait d'ailleurs fait croire qu'elle passait la soirée chez une amie pour pouvoir se consacrer à moi pleinement.
Aussitôt parvenus chez moi, nous nous enlevions mutuellement nos vêtements pour passer aux choses sérieuses. La petite gâterie à laquelle j'avais eu droit lors de la représentation n'était qu'une entrée. On s'attaquait au plat de résistance. Elle commença commença par me branler. J'éprouvai une envie irrepressible de jouir sur ses seins, de répandre ma semence sur sa belle peau sombre, pourtant je m'abstins.
Après avoir longuement lêché Laure pour la remercier, je m'enfonçai en elle. Je lui ramonai la chatte pendant de longues minutes, avant de la laisser grimper sur moi et d'attraper mon sexe à la base pour se l'enfoncer dans le derrière. J'adorais son petit cul serré et nos ébats se terminaient le plus souvent dans cette position.
Nous poussâmes un cri d'orgasme à l'unisson, avant de nous endormir côte à côte.
Quand je me réveillai le lendemain, en milieu de matinée, Laure était déjà partie – non sans m'avoir envoyé un texto pour me dire à quel point elle avait apprécié la soirée. J'avais également passé un très agréable moment en sa compagnie, pourtant ce n'était pas à elle que je pensais le plus, en cet instant. L'image de Juliette dansant sous les projecteurs ne me quittaient plus. En me repassant le spectacle en boucle dans ma tête, je commençai à me masturber. Ses formes envahissaient mes pensées. J'avais envie de caresser ses seins voluptueux, de me frotter contre ses fesses rebondies, de serrer ses poignées d'amour. L'orgasme fut intense et délicieux.
Il fallait que je la revois. Il fallait que je lui fasse l'amour.
J'attendis le début d'après-midi pour l'appeler – peut-être avait-elle fait la fête et s'était endormie tard ? Je ne sais pas pourquoi, mais mon coeur battait dans ma poitrine. Un peu comme quand on est amoureux. Je ne l'étais pas, bien sûr – du moins, pas à cet instant – mais j'éprouvais une excitation folle, mêlée à une pointe de stress. Et si elle n'avait pas de temps à me consacrer ? J'en mourrais de frustration.
Au bout de quelques sonneries, j'entendis enfin sa voix. Cette douce voix mélodieuse, que j'appréciais à l'époque, qui savait me calmer et qui m'encourageait avant un examen. Je lui proposais timidement de nous voir, quand ça l'arrangeait. Juliette me répondit qu'elle n'avait rien de prévu pour ce soir et qu'elle me verrait avec plaisir. J'eus du mal à masquer mon enthousiasme. J'étais comme un collégien lors d'un premier rencard. Que m'arrivait-il au juste, à moi qui, d'ordinaire, avait tellement d'assurance avec les femmes ? Comme si le fait simple fait de la voir sur scène m'avait fait tourner la tête.
Nous nous étions retrouvés sur la ligne 2 du métro parisien. Ce jour-là, Laure portait sous son manteau une robe sexy (qui épousait ses formes à la perfection) et des bottes noires à talons. Pour l'occasion, elle avait coupé ses cheveux à la façon de Joséphine Baker. Durant le trajet, je ne pus m'empêcher de la filmer avec mon smartphone. Laure fit mine de se cacher le visage avec sa main mais je savais qu'en réalité, elle adorait ça.
La salle était petite – celle d'un modeste cabaret de quartier – mais comme nous étions arrivés en avance, nous avions pu nous mettre au fond, dans le noir.
On annonça le début de la réprésentation et l'obscurité se fit. Après quelques instants de patience, on entendit les premières notes d'une musique sexy. Puis, un faisceau de lumière rouge dessina les contours voluptueux d'une belle jeune femme qui dansait gracieusement, nue, seulement recouverte d'une cape rouge. Je reconnus Juliette – qui portait le nom de scène de "Cindy Curvy". J'avais gardé en tête l'image d'une petite blonde à lunettes sage et studieuse, toujours un bouquin à la main. Le personnage aux fausses dents de vampires, qui s'ébattait sous mes yeux, était aux antipodes de mon ancienne amie. ce qui, je l'avoue, n'était pas pour me déplaire.
- J'adore quand elle remue ses gros seins, me susurra Laure au creux de l'oreille.
Ma partenaire appréciait encore plus les grosses poitrines que moi.
Le spectacle était à la fois sexy et drôle. A mesure qu'il se déroulait, je sentis croitre le désir en moi.
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Nous avons attendu à la sortie car je tenais à féliciter Juliette pour sa prestation et, par la même occasion, la présenter à Laure. J'avais en tête un scénario torride pour le reste de la soirée. Je reçus alors un SMS de sa part : Ne m'attends pas. J'ai des pinces à serrer. Ca m'a fait plaisir que tu sois venu, j'espère que ça t'a plu. Un peu déçu, je lui textais à quel point j'avais aimé son show et lui fit part de mon désir de la revoir très vite.
Ce soir-là, je rentrai avec Laure – celle-ci vivait avec son petit ami. Il était donc exclu d'aller chez elle. Elle lui avait d'ailleurs fait croire qu'elle passait la soirée chez une amie pour pouvoir se consacrer à moi pleinement.
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Quand je me réveillai le lendemain, en milieu de matinée, Laure était déjà partie – non sans m'avoir envoyé un texto pour me dire à quel point elle avait apprécié la soirée. J'avais également passé un très agréable moment en sa compagnie, pourtant ce n'était pas à elle que je pensais le plus, en cet instant. L'image de Juliette dansant sous les projecteurs ne me quittaient plus. En me repassant le spectacle en boucle dans ma tête, je commençai à me caresser. Ses formes envahissaient mes pensées. J'avais envie de caresser ses seins voluptueux, de me frotter contre ses fesses rebondies, de serrer ses poignées d'amour. L'orgasme fut intense et délicieux. Il fallait que je la revois.
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J'attendis le début d'après-midi pour l'appeler – peut-être avait-elle fait la fête et s'était endormie tard ? Je ne sais pas pourquoi, mais mon coeur battait dans ma poitrine. Un peu comme quand on est amoureux. Je ne l'étais pas, bien sûr – du moins, pas à cet instant – mais j'éprouvais une excitation folle, mêlée à une pointe de stress. Et si elle n'avait pas de temps à me consacrer ? J'en mourrais de frustration.
Au bout de quelques sonneries, j'entendis enfin sa voix. Cette douce voix mélodieuse, que j'appréciais à l'époque, qui savait me calmer et qui m'encourageait avant un examen. Je lui proposais timidement de nous voir, quand ça l'arrangeait. Juliette me répondit qu'elle n'avait rien de prévu pour ce soir et qu'elle me verrait avec plaisir. J'eus du mal à masquer mon enthousiasme. J'étais comme un collégien lors d'un premier rencard. Que m'arrivait-il au juste, à moi qui, d'ordinaire, avait tellement d'assurance avec les femmes ? Comme si le fait simple fait de la voir sur scène m'avait fait tourner la tête.
***
Nous nous étions retrouvés vers 20h sur la Place du Châtelet. Elle était déjà sur place quand j'arrivai et je constatai avec bonheur qu'elle avait soigné son apparence. Rien à voir avec la pulpeuse vampire du spectacle entrevue la veille. On aurait dit un ange. Je sentis de nouveau les battements de mon coeur s'accélérer. Je décidais de laisser passer quelques instants avant d'aller à sa rencontre. C'est alors qu'elle m'aperçut. Me souriant, Juliette vint à ma rencontre. Je respirai un grand coup et lui souris en retour.
Avant que j'aie le temps de dire bonjour, Juliette m'embrassa sur les deux joues. Elle paraissait sincèrement contente de me voir. La soirée s'annonçait bien.
Nous commençâmes par aller prendre un verre. Au début, je me sentis un peu gauche mais la conversation finit par couler toute seule et je retrouvai mon assurance.
- Je suis désolée de ne pas avoir pu te parler l'autre soir, dit-elle. Il y avait un ou deux agents dans la salle hier soir et je devais montrer patte blanche. Me vendre, quoi !
- Il n'y a aucun problème, je suis heureux de passer du temps avec toi ce soir.
J'avais dit cela en lui offrant mon sourire le plus charmant.
Lentement, je comptais faire glisser notre discussion vers le sexe. Maintenant qu'elle était ferré, j'allais pouvoir entamer le processus de séduction. Je lui affirmais à quel point je trouvais sa compagnie agréable. Je lui dis à quel point elle était devenue jolie, intéressante, attrayante. Les femmes aiment entendre ces choses-là. Grace au langage corporel, à la façon dont elle s'approchait de moi quand je parlais, dont elle enroulait ses boucles blondes autour de son doigt, dont elle riait à chacune de mes phrases, même les plus absurdes, je pus mesure son taux d'intérêt : maximum. Juliette finit par m'avouer qu'elle n'avait pas de petit ami. Le fait qu'elle ait été attirée par moi dans le passé jouait en ma faveur, il le faut bien le dire. Elle était à ma merci.
Après quelques verres, Juliette était complètement désinhibée et de plus en plus en drague. J'osai alors lui poser la question de ses préférences sexuelles.
- Je préfère être au dessus, m'expliqua-t-elle. J'aime dominer, pas être dominée.
Information intéressante, à retenir par la suite.
- Et toi, me demanda-t-elle. Que préfères-tu ?
- J'apprécie de ne pas toujours mener la danse, dis-je, ce qui était vrai. J'aime que ma partenaire sache prendre des initiatives.
Juliette sourit d'un air satisfait, qui semblait signifier "tant mieux".
La soirée se poursuivit et vint le moment de nous quitter, sous peine de ne plus avoir de transports à notre disposition pour rentrer. Nous étions sur le point de nous quitter à l'entrée de la bouche de métro, quand Juliette me lança :
- Tu n'aurais pas envie de prendre un dernier verre chez moi ? Il est tard et je ne suis pas rassurée à l'idée de rentrer toute seule.
Aussitôt, je m'engouffrai dans la brèche.
- Pas de problème, répondis-je, sans me faire prier.
- J'ai un canapé très confortable, se crut-elle obligée de préciser.
A mon avis, le canapé ne me servirait pas qu'à dormir ce soir.
Nous discutâmes de tout et de rien pendant le trajet. Je ne voulais pas paraitre lourd, alors je faisais tout pour rendre la conversation légère. Pourtant, arrivés devant chez elle, mon amie crut bon de mettre les choses au clair. Au moment d'introduire la clés dans la serrure de sa porte, Juliette planta son regard dans le mien :
- Je ne compte pas coucher avec toi ce soir, OK ?
- Bien sûr, dis-je en sentant naitre en moi une pointe de frustration – bien que je n'en eus rien laissé paraître.
J'espérais de tout coeur qu'elle ne pensait pas ce qu'elle disait.
Je découvris un appartement exigu mais chaleureux et décorés avec goût, aux lumières tamisées. Juliette enleva ses chaussures à talons et ses collants pour se mettre à l'aise. Cela ressemblait à une invitation mais peut-être me faisais-je simplement des idées ?
- Tu n'as qu'à t'asseoir dans le canapé, dit-elle, mais je vais me changer.
Juliette disparut dans la chambre. Quand elle revint, Juliette avait revêtu un peignoir de soie à travers lequel je pouvais contempler le moindre détail de son anatomie. Elle portait en dessous de charmants sous-vêtements en dentelle de même couleur.
Je sentis mon sexe durcir dans mon pantalon et mon coeur s'emballer encore.
- Tu veux boire quelque chose ? me demanda-t-elle.
Distraitement, je répondis que oui. Juliette se dirigea alors vers la cuisine et ramena deux verres de vin rouge. Pas très délatérant mais parfaitement adapté à la situation. Juliette s'assit sur le fauteuil en face de moi et nous bûmes notre verre en silence.
Je ne pouvais m'empêcher de la dévorer des yeux mais pour ne pas rester bloqué sur sa poitrine, je me mis à fixer le sol et me concentrai sur le vernis rouge de ses pieds. Comme elle possédait de sensuels et délicats, cela ne fit qu'accroître mon désir.
Juliette dut se rendre compte de mon trouble.
Sans prévenir, elle commença à dévêtir légèrement sa poitrine.
- Il faut chaud, tu ne trouves pas ? minauda-t-elle. Surement le vin.
- Ca doit être ça, dis-je, gauchement.
Cette fille-là savait comment me faire perdre toute contenance. Jouait-elle avec moi ? Voulait-elle seulement m'allumer pour mieux m'éteindre ensuite ? Pas très fair-play, si c'était le cas.
- Passons aux choses sérieuses, lança-t-elle, tout à trac.
Juliette se leva pour allumer un iPod branché à des enceintes posés, sur son bureau. Une musique sexy envahit alors la pièce. Mon amie se rassit en face de moi et cette-fois, dévêtit carrément son épaule, dévoilant une partie de son gros sein blanc laiteux.
- Alors, je te plais ? s'enquit-elle. Evidemment, elle connaissait déjà la réponse.
- Je croyais que tu ne voulais pas coucher avec moi ce soir, dis-je alors, troublé.
Juliette éclata d'un rire enjôleur.
- C'était un test, idiot ! Je voulais d'abord être sûre que tu me respectais.
Je ne pus m'empêcher de rire à mon tour.
- Alors, tu veux qu'on s'envoie en l'air, au final ?
Je regrettai aussitôt ma phrase mais, elle, Juliette ne sembla pas mal le prendre.
- J'aurais dû être plus précise : je ne veux pas que tu me fasses l'amour. Ca ne veut pas dire que moi, je n'ai pas le droit faire ce dont j'ai envie.
La conversation venait de prendre un tournant intéressant.
- Comme je te l'ai dit, précisa-t-elle, j'aime dominer la situation.
- Ca me va, dis-je dans un sourire.
- Ca te plairait d'assister à un show privé ?
L'idée ne me déplaisait pas. Juliette changea de musique sur son iPod pour quelque chose de plus rétro. Elle disparut de nouveau dans la chambre pour revenir, avec les dessous qu'elle portait lors de son dernier numéro – celui pendant lequel j'avais joui dans la bouche de Laure. Elle portait dans chacune de ses mains de grandes plumes avec lesquelles elle commença à danser. J'adorais la façon dont elle bougeait, mettant ses courbes généreuses en valeur à la manière des danseuses orientales.
Sans lui demander son avis, je commençai à me caresser.
- Tu peux te masturber si tu veux, dit-elle, mais ne jouis pas. Attends que je te le dise.
J'acquiescai et continuai de me faire du bien en la regardant.
A la fin du show, Juliette me renversa sur le canapé, entièrement nue.
- Mets-toi, nu toi aussi, m'ordonna-t-elle.
Je m'empressai d'obéir. Alors, Juliette commença à frotter son corps contre le mien. Je pouvais sentir sa magnifique et opulente poitrine effleurer mon sexe, mon ventre.
Bon Dieu, cette fille débordait de sensualité ! Que c'était bon !
Juliette me demanda alors de m'asseoir au bord du lit et je m'exécutai. Elle prit alors ma queue dure entre ses seins et, le maintenant fermement, opéra à un mouvement de va-et-vient. Sentir mon sexe glisser entre ses seins était absolument délicieux.
- Laisse-toi aller, me dit-elle.
L'orgasme fut intense. Je vis ma semence jaillir sur sa poitrine généreuse. Jamais je n'aurais pu imaginer que Juliette soit aussi décomplexée en matière de sexe. Cela me plaisait !
Juliette alors prit mon sexe à la base et entreprit de me lècher avec douceur. Je me délectai de ce plaisir post-orgasmique qu'elle m'offrait, qui me procurait des frissons. Le contact de sa bouche sur mon gland était divinement bon. D'un seul coup, Juliette s'arrêta.
Je croyais l'amusement terminé – même si mon sexe était encore dur. C'est alors que Juliette leva la tête vers moi et me lança, d'un air de défi :
Merci pour ce beau commentaire ! J'aime moi aussi les femmes voluptueuses… Il existe une suite à cette histoire : En soirée avec Juliette. Cherchez sur ma page !
Un pur chef d'oeuvre je le sentait dans la peau de l'homme , ce texte correspond parfaitemnt a ce que je voulait mais s'il vous plait UNE SUITE SVP
· Il y a plus de 6 ans ·chopper6sakura
Merci pour ce beau commentaire ! J'aime moi aussi les femmes voluptueuses… Il existe une suite à cette histoire : En soirée avec Juliette. Cherchez sur ma page !
· Il y a plus de 6 ans ·fidelio