Délire

Kostia Chaix

Dans des grands nuages blancs, on peut voir flotter les âmes. Sans nul intention, je lançais des cailloux dans une marrée qui ne baisse jamais. Je vous dis, J'ai vue les étoiles se coucher. J'ai vu saigner les dieux et pleurer leur statut. 

J'ai couru nu sur les champs de batailles.

Quoi de plus triste qu'un ange qui meurt? 

Le rire de ces nombreux démons témoignant d'une stupidité commune aux hommes. C'est une mazurka qui porte les morts. Dans la danse macabres des feuilles orangées. C'est un maharadja qui pense encore à ses nombreuses femmes enragées.

De tout les plus grand remède je suis celui de l'amour.

Au bord d'un fleuve les rimes des rames trimaient pour sortir de leur lit. 
C'est à l'encre de rhum que j'écris ma poésie 

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