Si je regarde derrière, les roses et les parfums... Du chemin de traverse aux croisées des chemins Lorsque j'ouvrais les yeux, sur les voies du destin Pour peu que l'on se touche je n'y voyais plus rien. Quand nous deux on était derrière la même fenêtre Quand je montrais du doigt l'émotion qui fait naître, Pour ne plus faire semblant et me contenter d'être, Tu mentais sentiment que le bonheur peut être...
Quand nos corps se parlaient, en libérant l'esprit,
Quand on se laissait aller à s'aimer toute la nuit,
Que ta peau sous ma joue en prolongeait l'envie
Par ce que ton corps offert n'avait jamais tout dit...
J'aurais dut résonner l'amour qui se gangrène
à la seule relecture du manque de nos peaux aiment,
Aux pieds de ces silences dont l'écho me rappelle,
Le bruit assourdissant de l'absence, d'un je t'aime.
C'était fort entre nous, par ce que je le croyais Comme je croyais en nous, si jamais tu savais Si tu savais combien, mais ça ne vaut plus la peine De nous deux, qui récolte, n'est pas celui qui sème. Hier ne cache plus ses vérités de nous,
La pudeur au passé jette son voile de dentelle,
Les masques sont tombés, nos anges brulent leurs ailes,
L'ombre d'un sorcier roux, allume des feux partout.
Je garde petites lumières souvenirs des moments,
Où nous avons été comme je t'ai rêvé d'être,
Quelques belles images aux faux bons sentiments,
Préférant oublier tes mensonges au paraître.
Oublier en amour c'est tout savoir quand même,
Il me reste les brulures des trahisons bohèmes,
Qui se vident dans mes vers pour couler en poèmes A l'ancre du verbe aimer, aux écluses que l'on ferme
Quand je regarde devant, pour y trouver temps clair Si brouillard et absence envahissent mon présent Si un manque de toi, s'invite au mauvais temps Je n'ai plus aucun mal à pouvoir m'en défaire.
Quand on se croisera, aux routes de ma mémoire,
Je te débarquerais sur le bord d'un trottoir,
Sans plus aucun regret aux défaites de l'histoire,
L'amour ne vaut bataille, que s'il mérite victoire.
Maintenant,
Que tu vogues au vent dans le vague de l'oubli
il est temps,
Que je puise dormir peau à peau toute une nuit
Doucement...
Partager le plaisir d'une caresse au réveil
Mains tenant :
Recevoir et donner la tendresse d'un... je t'aime.
ce texte est ancien mais j'aime à le savoir sur un tableau d'affichage
parce que les émotions qu'on a habité toujours nous appartiennent
· Il y a environ 8 ans ·sortilege
elles sont notre seule vérité sur le monde, notre seule mémoire de lui...merci Sorti
· Il y a environ 8 ans ·nessim