Des Rois VIII.

Une nouvelle monarchie est née en pleine période estivale, enfin c'était pas ça, il faudra attendre un siècle et 6 ans pour les congés payés.

Un Roi en poire pour la postérité, c'est pas génial. C'est un peu comme notre Flamby.

Les légitimistes auraient préféré l'héritier de Charles X, Le Duc de Chambord.

C'est le grand bordel chez les ministres. Seul le Roi paraît stable.

La rue, la crise sociale, les nostalgiques de l'Empereur, on est pas dépaysé, Empereur en moins cependant.

Les Canuts se soulèvent à Lyon, et, à Paris, c'est pas mieux.

Nous on a eu Édouard Philippe, aucun rapport, je vous l'accorde, c'était pour la blague.

7 attentats déjoués contre Sa Majesté, pourtant il n'y avait ni DGSI, Ni Interpol, ni CIA ou autres machins.

La répression grandissante et l'absence de réformes obligent Louis Philippe à faire ses valises pour l'Angleterre, comme Charles X !

Le comte de Paris, petit fils de Louis Philippe, prend la relève, après une révolution de printemps qui s'étend aussi à « l'Italie, la Pologne, la Confédération germanique [nique nique], et l'Empire autrichien.

« Napoléon le Petit » (Hugo), « Le Sphinx » (Zola), neveu du précédent,  Président de la Seconde République en 1848, rétablit l'Empire en 1852. 

Les partisans du retour à l'ordre sont solidaires.

La France est muselée : déportations, bannissements,  emprisonnements (Guyane, Algérie et, pour Victor, Bruxelles, Jersey et Guernesey).

La Prusse de Bismarck provoque la Troisième République et l'adieu à l'Alsace et la Lorraine, mais ça, c'est une autre histoire.