Désordre

Désordre ithyphallique qui inonde les marches,

Tant de candeur prise au piège

La marche forcée force,

Et les langueurs du matin blême flétrissent

Aux âmes pures.

(Les amants fondront en larmes, c’est sûr)

Et nous ferons des montagnes de bulbes aux foins asséchés

De vacarmes,

Et j’irai par delà les trouvailles du temps déchirer l’espace

Quand tant de mystères mystiques nous appellent à la dérobade

-Du temps,

Non, sachez pioupesques anges pris dans la nasse du jour

Que les filets d’émeraudes sont bannis ici même,

Où la lumière a emprisonné la beauté.