Destin...

jabbar

Par le sort...

Cette douleur qui revient,
N'a de cesse ; n'a de trêve,
Une blessure du destin,
Tel un dar ; tel un glève,
Une bougie qui s'éteint
Qui m'aveugle et m'achève;
Comme un triste refrain,
Quand les vents se soulèvent;
Quand mon cœur se souvient,
Que mes larmes versées,
Ne suffisent à mes plaies;
A mes plaies, les panser. 

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