Deux âmes.

ombre-jours

tu as trouve mon coeur dans un gouffre sans fin.

Et dans ma grande épopée en quête de lumière je tais rencontré.

 Je te toucherais de mes doigts comme les hommes ont toucher le feu la première fois.

À toi douceur sans fin.

À toi patience.

A toi fidélité.

À toi amour.

on sen lasse et le néant rétrécit,  je ne te vois que dun oeil l'autre est endormie.

je ne men fait pas car dans mes rêves je te revois.

quand tout ses fanne, tu te fais vie.

on se perd souvent dans cet amour abyssal.

et puis tout est silence, tu deviens bruit.

Ciel et mer se s'assemblent pour exprimer mon repenti.

je vois des doutes, quand d'autres voient des certitudes.

Dans nos temps damour, nous aurons des orages.

notre seul abri sera notre tendresse.
seulement nous deux pour vivre nos promesses.


Signaler ce texte