Devenir

leternelle-insatisfaite

La page blanche ravage les mouvement de mes doigts. Elle capture mes idéaux et les tourments qui discutent dans ma tête. Le tons commence à monter, je meurs. Elle m’a eu, cette salope. Tu as dorénavant le contrôle de mon âme, je glisserai entre mes lèvres des soupçons de lucidité.

Seule, anéantie, la vie sera que plaisir. Je n’ai pas peur du temps, je n’ai peur que de moi. J’ai peur des ridicules qui sauteront sur ma peau. Elles verront en moi, des étincelles de petites lumières qui leurs donnera le droit d’être, à leurs tours, des tartes, identiques à celles qui courent les centres commerciaux. Y’a des frissons qui se collent à ma peau, parce que dans mon coeur ça palpite. L’idée de la femme au foyer entouré de ses enfants et du bonheur de l’appréciation du bon pâté chinois. Laissez-moi crever, des rêves qui courent les rues. Des idéaux de famille souriant sur les centres de tables, des papillons qui vacillent de fleurs et de nectars, j’apprivoiserait vos esprits et ferai de vous, des gens ouverts d’esprits.

Mon corps s’échappe en fumée d’idée préconçus endormie sur mon lit de mort. Faux, je ne serais pas la fille qui embrasera l’homme. Je serai la femme qui aimera, la femme qui se ferai faire l’amour les froids soirs de novembre, la femme qui prendra un thé nue endormie sur l’épaule de celui, celle, de l’humain dont elle sera amoureuse. Oui, ce serai moi. Bien, épanouie dans chaque particule de ma vie.

Jamais, je ne me rangerais dans un travail qui m’ennuie, dans une routine qui ne vacille plus depuis des lustres, mes hanches, mon esprit, tous serai accompagné au rythme d’une valse harmonieuse aux mouvement et désirs de mon esprit. Ma personne résonnerai par-dessus tout. Je serai l’étoile du tableau, dans mes yeux, ils coulera de magiques pastilles de satisfaction. L’incohérence de ma vie actuelle, mes valeurs, mes amours, seront tous en paix. L’odeur des anges flottera calmement sur le grain satiné de ma peau.

L’amour cessera d’être vu comme un ancien battement de coeur, comme de vieux sentiments envoyés à la poubelle. Le visage de l’amour ne sera plus celle d’une fleur disparue, fanée, toxique. L’amour sera actuel, vrai, et accessible. J’ai si peur de glisser dans le corps du commun. Amour, rimera de nouveau, avec le mot véracité.

Signaler ce texte