Divague
leternelle-insatisfaite
Droite, gauche, sud. ouest, nord, est. Aucun point de repère. Mon coeur divague de jour en jour. Je saigne de toi. Des érraflures qui baignent dans les pores de ma peau.
Je t’en voudrais jamais assez d’avoir laissé en moi des segments de tes promesses, je t’en voudrais jamais assez d’avoir prit mon coeur et d’avoir fait de lui, un esclave à temps partiel.
Je te pardonnerais jamais de l’importance que tu prends dans ma tête. Je te pardonnerais jamais de faire en sorte que autre est toujours fade, excepté toi.
J’accepterais jamais que tu as aimé, mordu, crier, touché, pleurer pour autre que moi. Je voudrais tellement crois-moi.
Je voudrais être comme eux, et passer d’une histoire à une autre. Arrêtez de penser qu’à tes yeux et à leurs regards. Je voudrais sortir de cette bulle d’idyllique d’amour qui n’existe plus depuis tant de nuits. J’aimerais être forte et femme, assez femme pour tracer un trait de crayon sur le destin qui s’était mit en scène que pour nous.
Je ne voudrais pas pleurer encore aujourd’hui après presque 4 ans, les espoirs qui m’ont mentis. et les plans d’amours que mon corps s’était créer.
Un dualisme vit en moi, profondément. J’ai mis une croix sur toi dans la réalité, je sais que plus jamais je goûterais tes lèvres et sentirais ton odeur me bercer les matins de printemps. Je le sais. Je le veux.
Mais, il y a une force en moi qui vit encore dans mes songes, mon corps et qui reste accrocher au passé que l’on s’était créé. C’est comme mon petit repère tranquille où je vais me réfugier quand tout va bien, quand mes pensées se bousculent dans ma tête, y’a toujours toi qui me revient en tête, comme tu étais un baume sur mes maux.
Tu es portant la source initiale de tous ces cafards qui dansent dans ma tête. Toi, rien que toi, fait en sorte qu’aujourd’hui je crains l’amour, je crains d’amour.