Douleurs meurtrières.
lirynn
Marché encore et encore derrière la douleur. Mais elle me rattrape, alors je cours désormais. Mais elle s’accroche à mon être, j’abandonne ma course, bien trop fatiguée. Et elle est là, toujours présente. Aïe, elle me pique avec ses jeux de perversions. Tu m’as abandonné comme ca, toi qui a débusquée la vie. Mon cœur t’appelle, met je sais que tu n’attends rien. Alors mon Ame s’envole vers toi, je n’en ai plus besoin. Aïe, elle recommence. Derrière un rideau noir, je danse a m’en faire mal aux pieds. C’est le grand spectacle, que j’aurai dû faire avec toi. Alors je joue la marionnette devant les spectateurs, artificiel. Puis je craque, je préfère les tragédies, alors je joue avec une lame tout a dansant. Je tombe dans une flaque de sang. Les spectateurs sont ravis, une belle danse macabre leur convient. Si seulement ils savaient que ce n’étais pas un jeu d’acteur, mais moi mourant sur le sang putréfiant. Le rideau se ferme, et moi avec…