Ebola

Jean François Joubert

Attentionà Ebola

mes yeux de vers vertige galicinée ne verrons viendrons pas tôt : EBola tu et vous vous allez au soleil pour une poignée de cacahouette, sans une femme, sans un fils à tenir par la main, lui montrer que le désert est un désir d'île et d'ailes, que la Terre est le berceau, de nos désirs, prendre une Ballade, prendre, toujours prendre sans trop comprendre, pourquoi ?Le même refain nous revient à la gueule Rue Saint-malo cité corsaire, il rêvait dOrion et de la croix du Sud et sans service militaire, une vie d'oiseau, un rêve de Trop !

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