écriture

wombat

Sur mon bureau, ça s'entasse... Des papiers, des bribes de mots, des coups de crayons, des musiques de mots... Je voudrais, je voudrais...Ya tant à dire, tant à écrire et tant à lire (tantalirelirerelo). Y a tant qui est coincé là-dedans. Et puis, il y a dehors, il y a vos yeux qui se posent sur mes mots. C'est un frisson, agréable et et pénible comme un frisson; je clique, et je rougis comme une gamine. C'est difficile, douloureux, si intense.

A peine rentrée, je fonce. Je liks, j'écris, je vous lis. Et je  trouvevos textes si beaux, si grands...que ça me décourage! Jamais... Pas moi...trop tard...

Ca ne me décourage pas tant que ça, finalement. J'y retourne, chez le marchand de feuilles, c'est qu'il m'en faut un paquet! Et puis, il est si beau, mon marchand de feuilles, si vous saviez...

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