J'avais rencontré Leila lors d'un gala de droit de la faculté de Montpellier, auquel j'avais accompagné l'un de mes amis, un futur juriste. La demoiselle, une marocaine au fort tempérament, à la chevelure bouclée, au teint mat et aux formes généreuses, m'avait tout de suite plu. J'avais donc passé la soirée à la courtiser, y mettant tout mon coeur. M'intéressant à sa conversation, j'avais fait en sorte de ne pas passer mon temps à loucher sur son décolleté, fort joli !
Mes efforts s'étaient finalement révelés payant puisqu'à la de la soirée, Leila accepta que je la raccompagne chez elle en voiture. En effet, Leila n'était pas véhiculée et mon ami, jouant le jeu, avait déniché une âme charitable pour prendre le chemin du retour.
Tout le long, Leila avait carburé au martini. Elle était un peu éméchée, mais pas suffisamment pour perdre possession d'elle-même. Quant à moi, je n'avais pas avalé une goutte d'alcool puisqu'en effet, j'étais capitaine de soirée.
Nous étions à mi-chemin quand le tonnerre gronda dans le ciel. Rapidement, la pluie se mit à tomber, de plus en plus fort. Les orages ont tendance à être violents et les routes dangereuses, dans cette région. Nous décidions de nous ranger sur le bas-côté et attendîmes patiemment, pendant plusieurs minutes, que la pluie cesse. Il n'en fut rien. De mon coté, j'étais plutôt content que l'averse s'éternise. Cela nous permettrait de passer plus de temps ensemble.
Après un moment de silence, Leila se tourna vers moi. "Merci de ta patience." me dit-elle. Je ne compris pas tout de suite. Parlait-elle de mon calme par rapport à la tempête ? "La plupart des mecs en aurait profité pour me sauter avec délicatesse tout de suite, pas toi." expliqua-t-elle.
Je ne savais pas ni quoi répondre, ni comment réagir. Avec un sourire enjôleur, la belle maghrébine s'approcha de moi et commença à caresser mon entrejambe. Tout en l'embrassant, je me mis à lui palper les seins. Des seins si volumineux que mes mains n'arrivaient pas à les saisir entièrement. "Et si on basculait à l'arrière ? me proposa-t-elle. Ce sera plus confortable."
Une fois sur la banquette arrière, nous nous déshabillâmes, un peu à l'étroit. La pluie s'était transformé en avalanche de grêle. Mais la tempête qui faisait rage dans mon bas ventre était bien plus intense que celle de l'extérieur.
Je plaisir à contempler le corps de Leila. Sa poitrine volumineuse effleurait mon visage par intermittence, m'offrant la possibilité de titiller ses tétons du bout de la langue. Ses fesses et son ventre ronds de danseuse orientale étaient livrés à mes caresses.
"Je veux que ce soit court mais intense." me dit-elle. Je couchai Leila sur la banquette arrière et plongeai aussitôt ma langue dans son intimité touffue. La belle en poussa des gémissements de plaisir. Puis j'introduis mon sexe en elle, avant de recommencer à la lécher pour m'abreuver de son nectar. Ce manège dura un petit moment, jusqu'à ce que Leila m'arrête. "Viens en moi et reste-y, maintenant ! m'ordonna-t-elle. J'ai vraiment envie de que tu me prennes."
Tandis que je la pénétrais avec vigueur, celle-ci se caressait le clitoris en poussant des cris. Parvenue à l'orgasme, elle me proposa de venir sur moi. L'habile mouvement de ses hanches sur moi me rendit fou de plaisir.
Leila se retira alors et, loin de me laisser tranquille, prit mon membre dans sa bouche. Je gouttai alors au plaisir de ses lèvres sur mon gland, si bon que j'eus bientôt envie de jouir. Ma partenaire dut le sentir, car elle arrêta aussitôt la succion et, levant les yeux vers moi, me demanda :
"Tu préfères éjaculer dans ma bouche ou sur mes seins ?"
Après un instant d'hésitation, je décidai d'opter pour la seconde option, poussé par l'envie de voir ma semence recouvrir son opulente poitrine. Leila entreprit alors de me branler énergiquement, jusqu'à me faire gicler sur son sein. Je vis mon liquide chaud couler le long de son corps, parcourant les courbes de son ventre pour finalement se loger dans sa toison frisée.
Ce spectacle m'avait de nouveau excité. Loin de débander, je proposai à ma partenaire de la prendre en levrette. Nous nous mîmes en position et je tentai de m'introduire dans son petit trou. "Arrête, je n'aime pas ça !" me dit-elle, sur ton sans équivoque. Je ne cherchai pas à insister. Après avoir planté mon sexe dans son vagin soyeux, je la ramonai avec force en profitant de la vue. Sentir mon bassin buter contre les parois de ses fesses, à chaque pénétration, était divinement excitant.
Après lui avoir donné un nouvel orgasme, je retirai mon sexe pour gicler sur ses fesses. Alors que je poussai un soupir de satisfaction, Leila tourna la tête vers moi et, me dévisageant d'un air lubrique, recueillit le sperme pour le porter à sa bouche. "Alors, ça t'a plu ?" me demanda-t-elle en se délectant de mon jus. D'un hochement de tête, j'acquiesçai. J'avais adoré.
Tandis que je jetai un œil par la vitre arrière pour m'enquérir des caprice de la météo, Leila recommença à jouer. Prenant appui contre la vitre arrière, Leila tendit la jambe pour caresser ma verge avec délicatesse, du bout des orteils.
"Tu es pressé ?" dit-elle. L'orage gagnait en intensité, impossible de reprendre la route. Nous allions pouvoir en profiter encore…