Encas

ikonklast

J'aurais  voulu que tu respires mon air trop fort,

S’en mettre plein l'atmosphère à en étouffer mes orifices,

Bousculer ma vertu a ne plus savoir quoi en faire,

Papillonner sur ma verticale sans jamais redescendre,

Vaincre les lois de l’attraction.

Voir ton reflet dans le cri des enfants.

Vibrer à en perdre les billes.

Ivre sans se défendre.

Je la veux un peu trop pour moi tout seul

Et puis Surgir cent prétextes et tout dégringoler comme a l'initiative de l'autre jour sans fin.

Elle me pollue l’embouchure,

À en Perdre mot à mot le sens du nord.

Elle m’incapable a éprouvé quoi qu’il en soit.

Joue dans mes bras croisés et trinque à l'envers

J’étouffe de sa présence sur mes pages blanches.

Je fuis son ombre à chaque coin d’angle,

J’hurle chaque silhouette a se retourner dans l instant.

Découdre de fil en aiguille un sillon raviner par tant d’inertie.

Elle prend trop plein  à s’en suffire.

Et fini par tout envoyer valdinguer aussi furieux que surpris.

Sa présence n’est plus qu’une énigme bien arroser.

Les mots ne se suffisent plus et les réponses manquées.

Un tas d’irréversibles en poudrière retardement.

En point de suspens sur le  grand, n’importe quoi que soit

ET l'histoire se retire comme cent lendemains, libéré.

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