Ereimul

Il est quelque chose qui arrive.
Quelque chose qui essaie de se faire remarquer.
Là!
J'ai cru l'apercevoir.
Comme une chose qui se meut au fond des âges,
au fond d'une de ces artères sinueuses sans fond.
Dans une insignifiante cavité de la parois, presque irréel;
A la fois grossière, granuleuse et pourtant douce, organique.
Il est bien quelque chose.
Comment l'écrire, elle est à peine discernable.
Plus je m'emploie à l'observer moins je la comprends.
Jusqu'à douter..
Pourtant c'est bien là.
Je l'ai déjà vu par le passé.
Comme un fluide.
Aucun seau ne peut le rassembler, il disparaît de toute part.
On raconte qu'il fut des êtres autrefois, capables de la transporter.
Il est dit qu'un de leur organe vital était façonné pour le recevoir,
le contenir pour le reverser à d'autres.
Certains initiés paraît-il pouvaient même la faire naître en eux.
Les manuscrits parlent d'ondes, de spectre ou de ce nom: Ereimul;
...
La lumière.