Et toi jamais tu ne me rejoins.
mooona
Et puis à la fin, C’est rien.
Même plutôt bien.
De toi, j’ai faim.
Mais je ne vaux rien.
Vaurien.
Pour moi, T’es trop bien.
Je sème les grains.
Tu montes les gradins.
Gredin.
Beau brun.
En plus t’es malin.
Tu me traites de catin.
Et je te crois, putain.
T’es fin.
Enfin, c’est rien.
Alors je mets de l’eau dans mon vin.
Et je te suis à Berlin.
Tu mises tous les gains.
Je te crains,
Ca craint.
Je te vains,
En vain.
T’es pas un saint,
Mais ça ne fait rien,
Je te suis même si c’est pas sain.
Du moment qu’on ne fait qu’un.
Même si des visages, tu en a vingt.
Et que des catins tu en as plein.
Je te plains.
Même si je suis ton bien.
Que tu me tiens.
A toi, je tiens.
Je te suivrais jusqu’ à Dublin.
Même si tu ne me tiens pas la main.
Tu me soutiens et
J’avance avec des freins
A l’allure d’un train.
Et toi, toujours serein
Petit importun
M’ignorer tu réussies bien.
En jouant l’indifférent tu m’atteins.
Et je ne dis rien.
Mais c’en ai finit, ce matin.
Je ne suis plus ton chien.
Je sors du déclin.
Tu n’es plus qu’ancien,
Dans mon cœur, rangé dans un écrin.
Cette fois ci c’est vraiment la fin.
Même si tu as déjà entendu plusieurs fois ce refrain.
Désormais je m’y tiens.
Mais juste avant, j’t’accompagne au Bénin.
C’est pas bénin.
Mais de toi j’ai besoin.
Même si de moi, tu ne prends pas soin.
Je te suivrais sur tous les chemins.