Exes, anagramme et mes faits

jeanduvoyage

Un homme se fait quitter par sa femme, il sublime sa peine par une sexualité débridée, deviante. La nouvelle dans sa totalité sur : https://www.atramenta.net/lire/exes-anagramme-et-mes-faits/58437

On s'était donnés rendez-vous devant un hotel **** et mon sexe frétillait avant même d'avoir vu cette belle.

L'excitation monte encore d'un cran : elle arrive. Je la contemple marcher jusqu'à moi, son allure et son déhanché sont la marque d'une femme qui connaît le pouvoir que cela lui octroi sur les hommes. Elle est à mon goût et à l'heure. Je ne quitte pas cette succube des yeux et elle sait alors que je ne suis pas n'importe qui, je suis son client. Un mètre soixante-quinze de classe, très brune, lèvres cerises, tailleur blanc, tallons rouges. La cerise est aussi sur le gâteau : elle offre, sans obscénité aucune, un décolleté à l'ancienne qui rappelle subtilement celui de la courtisane du XVIII ème qui indique que non, elle n'est pas une femme d'affaires comme les autres. Les passants autour d'elle sont happés, son passage provoque un appel d'air attirant tous les regards d'hommes salivants et de femmes haineuse de jalousie. Ce spectacle est assez hallucinant, elle ne laisse personne indifférent et dans quelques minutes je vais goûter au privilège que tous ces hommes convoitent. J'ai six ans et je suis devant un sapin de noël couvert de cadeaux.


En payant la chambre, je sens déjà mon sexe durcir. Le numéro s'imprime étonnamment et au fer rouge dans mon mental : 146. Dans l'ascenseur, je réfléchis et me dis qu'il va falloir que je me maîtrise, que je prenne mon temps sans quoi je risque de m'embraser comme un feu de broussaille. Six cents euros en deux minutes ne serait une bonne affaire que pour elle. Nous entrons dans la chambre que je serais incapable de décrire, j'aurais pu entrer dans une cave sans même m'en être rendu compte tant j'étais perturbé par l'excitation. Elle sort de son sac des tests de dépistage rapide. Ce test m'a fait redescendre sur terre. J'étais passé du feu qui me consumait à la terre, au réel. Je suis maintenant décidé à m'abandonner aux flammes infernales des sens à nouveau nourries par l'élan de nos reins pour nous perdre dans les eaux prodigieuses et orgasmiques.


Une fois le sang et l'argent sacrifiés dans cet hôtel, nous étions tous deux prêt à entamer ce voyage hédoniste. Durant une demie seconde, je l'admire : ses traits sont méditerranéens, sa peau est matte et sans ride, elle ne doit pas avoir plus de vingt-cinq ans. Ses yeux verts foncés trahissent sûrement quelques origines d'ailleurs -slaves peut-être-, ses lèvres sont charnues mais découpées avec goût, son nez est assez étroit et long mais sans excès. 


Cette femme est suffisamment délicate pour ne pas me demander ce que je veux, elle va le sentir. Ses jolis yeux m'interrogent, elle n'a peut être pas l'habitude d'être contemplé par un client sans être nu. Je m'approche d'elle sans la quitter des yeux et l'entoure de mes bras puissants, je serre en toute simplicité son corps délicieux contre le mien qui se durcit. Je ferme les yeux, plonge mon nez dans ses cheveux et hume profondément. L'odeur n'est pas celui d'un parfum, une odeur artificielle, l'odeur que je sens est celle de la femme. Rassasié temporairement, je quitte ses cheveux pour à nouveau m'attarder sur ses yeux qui ne sont plus interrogateurs. Je vois dans son regard de la douceur et de la bienveillance, je perçois en elle une détente, elle me fait confiance, c'est évident. L'idée me traverse l'esprit d'abuser de cette confiance ou de la trahir. Cette idée restera idée. Mes mains s'expriment comme celles d'un aveugle extatique. J'en viens à saisir fermement ses fesses qui ne le sont pas moins. Son corps de déesse a été sculpté par un artiste et je m'apprête à lui rendre hommage.


De son côté,  au travers de mes vêtements, sa main caresse mon sexe qui donne un relief lubrique à mon pantalon. Mon pénis est à l'étroit et ne demande qu'à sortir. Elle le sait. Elle s'agenouille devant la production de ma virilité ou, plus précisément, de sa féminité. Très habillement elle me libère. Mon chibre a rarement été aussi dur, je n'ai pas six ans mais seize. D'un geste de la main, mon gland est à l'air libre, elle me regarde avec un sourire en coin. Elle jauge mon désir et le fait durer. Avant  d'avaler mon gland, elle prend le temps de le sentir. Elle poursuit son œuvre avec talent et en vient à faire complètement disparaître mon sexe dans sa bouche. Succions, frottements, caresses langoureuses. Mes testicules ne sont pas en reste, elle parvient, tout en suçant, à me branler le sexe et me malaxer les couilles. Ses aller-retour se font avec vigueur, ses lèvres appuient avec force et encore d'avantage sur mon gland qui va éclater.  Soudainement, elle s'arrête, me regarde à nouveau, puis, me chatouille le bout avec le bout de sa langue. Au bord du débordement, je lui offre une goutte de sperme puis la relève délicatement.


Nous nous embrassons. Sa bouche si parfaite dégage une lourde odeur de sexe, mon sexe. Le fait de gouter à sa pureté souillée par mes œuvres, me procure de la jouissance. En quelques secondes, d'une main experte, je la déleste de tous ses habits aussi sexy soient-ils. Je sens mon attitude contemplative se faire usurper par un désir féroce. Je m'allonge sur le lit en l'invitant à s'assoir sur mon visage. J'ai faim d'elle. J'ai soif d'elle.


Elle m'offre son sexe et son eau de vie en plaçant gracieusement ses cuisses autour de ma tête. Agenouillé elle se donne à me bouche et à mon odorat exaltés. L'odeur est forte, presque écœurante et je me surprends à adorer ça. Ma langue pénètre sa vulve aussi loin qu'elle le peut et visite son clitoris en érection. Elle me saisit alors la main et, en gémissant, la broie entre ses doigts .


D'un coup, je sens tout son corps se raidir, ses deux mains passent derrière ma tête dont elle se serre comme d'un sex toy durant son orgasme. Tout mon visage est littéralement collé à son sexe trempé, et elle se frotte. Je sens l'excitation en moi monter d'un cran. Ses spasmes s'espacent et ma bouche était désaltérée. Je profite de cet entracte pour me dégager et passer derrière elle. Mon pénis à l'air libre se rapproche inexorablement de son sexe ruisselant. Je vais l'empaler me dis-je.


Mon phallus s'immisce délicatement entre ses lèvres, son vagin m'offre une caresse douce, chaude et mouillée. Je sens tout l'intérieur de son être et dans la pénétration, je ne fais qu'un avec sa beauté. Je consomme sa volupté. Le galbe de ses hanche et les rondeurs de son cul sont sublimes. Tout ce qu'a produit l'art n'arrive pas à la cheville de cette pute. C'est évident.


Celle-ci me demande de la sodomiser et j'en suis ravi. Je lui crache sur le trou du cul qui n'offre aucune résistance. J'enfonce d'abord un pouce, puis deux doigts, puis trois puis je me demande combien encore. Mon braquemart lui traverse le cul facilement, comme je l'avais déjà constaté, ce dernier est moins étroit que la norme en la matière. Elle râle comme si c'était pour elle la première fois alors que je ne pousse que l'occupant du lieu. J'aime la comédie. Elle me demande de lui claquer les fesses et de lui tirer les cheveux. J'hésite. Je me rends compte à quel point je suis coincé sur le plan sexuel. Je le fais sans conviction et sans plaisir, je me dis qu'il reste à explorer cela et sûrement encore beaucoup de choses…


Je poursuis dans ses entrailles, le dégoût se mêle à de l'excitation. Je joue avec son trou du cul en massant mon gland tout doucement. Elle se met à jouer avec moi en serrant son anus et cela de plus en plus fort, le plaisir est tel que je lui donne tout ce que j'ai dans un râle d'homme des cavernes. J'ai l'impression de littéralement la remplir de toute mon énergie, de mon feu ardent.


Je suis en sueur, haletant, exténué et en sueur. Je m'écroule à ses côtés en me disant que je n'ai même pas pris le temps de gouter à ses gigantesques tétons. Elle se met à plat ventre et je constate avec amertume qu'elle n'est pas aussi affectée que moi. Mon extase c'est sa routine. Elle m'embrasse le front dans un geste maternel, me sourit, et disparaît dans la salle de bain.

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