EXTENTION DU RIRE

Philippe Larue

Si si, c'est possible

C'était la crise , meme aux Canada, où pourtant l'emploi ne faisait pas défaud. A force de déboiser, un groupe de castors avaient construits un radeau pour se rendre sur le vieux continent. Pourquoi me direz-vous? Ils n'étaient pas content depuis un certain temps à dormir sous des tentes cannadiennes. Une castafiore rieuse les accompagnaient pour la grande traversée. Dois-je l'avouer? Non, ça n'a rien d'humoristique. Des castors faisaient une transat sans un seul tonneau de rhum. Y-a-pas de quoi délyrer! Oh, puis si, je vous le dis. Elle chantait la flute enchantée, ce qui faisait voler des excocets, se croyant à la course de l'América Cup. Médusées, des raies mantas s'élançaient des falaises en base jump. Ils avaient pensées à tout, ces castors, meme au GPS! Des dents longues faisaient du morse et des manchots, les castagnettes avec les coquilles des moules. Un océan qui roc, ça évite d'etre sourd. Intelligents, ils avaient réquisissionnés une orque nommée Willy, pour gouverner et surtout histoire d'avancer plus vite. On leurs avaient parlés de Jules Verne, mais ils ne voulaient pas que le voyage dure 80 jours. Une obélixe, dopée à l'huile d'oméga 3, ça ne vous menhir pas nulle part!

Après un mois à chanter avec les sardines, en débarquant sur la cote d'Albatre, un etre, tas de maquereaux voulurent leurs soutenir de l'escarbèche. L'orque Willy les balleya d'un coup de queue. Les castors tapèrent le sol de leurs queues comme le pape embrassait la terre. Ils espéraient une ruée vers l'or, en dévalisant le roi Merlin de scies égoines, de marteaux et, petites exceptions, une perceuse électrique sans fil!

Voilà la véritable histoire de la cabane au Canada contemporaine!

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