Faites place

Et je vois ces monarques qui se pavanent, qui attendent que les yeux se tournent vers leur Havane. Mais ils sont de la pire espèce, une qui grouille dans l'espace, ils rongent les espoirs de ceux qui trépassent. En somme deux beaux rapace!

Ne perdons pas notre temps avec de belles catins qui n'osent se lancer, qui regardent l'avenir comme un chien enragé. Car nous sommes les cerbères, au tête de loup. Si l'une est une vipère, nous lui tordrons le cou.

Je suis la peau de ce lion impénétrable, et vous le grand gourdin, pour rosser les fessés folles de quelques putains.

Alors mes amis faites place, il vous faut fêter, la venue dans ce palace, de nos textes effrénés!