famille-essayons !
mmandelkorn
C'était un de ces jours où papa excédé, souhaitait que, on ne le saura jamais.
Le matin, tout allait encore bien, je lui avait dit, en France, j’ai le sentiment
de perdre mon temps, et là où tout me semble aller de travers, je fuis,
je pars en Israël, vivre en kibboutz. J’ai tout prévu, mais ça n'avait pas
arrêté Papa, qui me rétorqua, ici, tu as des droits, en Israël
tu n’en auras pas le quart. ! Il se dépêchait de descendre les escaliers pour
me montrer mon nouvel appartement, tu a un studio, tu habiteras tout prêt,
j’y ai fais tous les travaux, tu mangeras avec nous, ne part pas.
Je rejoignis le nouvel petit appartement qui m’attendait pour m’y installer,
je pria Papa de m’excuser et je dis, il est comme neuf.
Alors au lieu de l'emmener à l'aéroport. en m'installant en kibboutz, j
e promis de ne plus le quitter, Maman poussa un juron, son frère, mon oncle
venait de décéder d’une crise cardiaque. Je dis, si j’étais là bas (en Israël,
il m’aurait à coup sur demandé de revenir pour enterrer tonton, tellement
ils sont respectueux des familles juives comme la nôtre. Papa se demanda s
i j’avais pensé à prendre tout ce dont j’aurais besoin pour vivre dans ma
nouvelle demeure. Ce déplacement que j’avais envisagé, notamment avec
l’Agence juive à Paris et en tout cas vers l’étranger, ça lui semblait si bizarre,
l’embarrassait beaucoup et les rendez-vous pris par les institutions
communautaires pendant mon séjour en Israël aussi.
Le premier rendez-vous avec la nation juive avait pourtant été prévu
depuis longtemps, mes parents m’avaient eux-mêmes payé un voyage
d’études en Israël. . Papa savait que j’avais largement compris l’antisémitisme,
le sionisme, la Shoah de son père, Isaac, de son frère aîné dont je portais
le même prénom en sa mémoire auquel on avait ajouté le prénom du frère
à ma mère, Lucien. Lucien était décédé, il avait la guerre 39-45 avec la Russie,
de son père Jacob lui même mort dans les camps et avec la France, pays de sa
mère juive de Lorraine depuis la nuit des temps, je pensais à tout cela, à mémé
Suzanne, à tonton Lucien, à papa jojo, à maman Jacqueline., de mes vieux
cousins, le temps d'arriver en France, ils avaient subit le même sort,
après la débâcle de 1939, à Paris, après les pogroms, les ghettos, ,
De s'installer à Paris avant cette sévère répression nazie, Papa se rendit vite
compte que j’ avais oublié de noter qu’il avait été engagé volontaire, versé
dans la 2ème DB de Leclerc, dans les chars des spahis, régiments oh combien
renommé à la Libération. Je salue le peuple souverain qui a libéré Paris,
lorsque celui-ci lui dit bonjour, Je sursauta et m'excusa., Décidément,
il était de mauvais poil, Mais décida de prendre sur lui. Après tout ce monsieur
n'y était pour rien dans mes contrariétés et. en fait, il refusa que je m’expatrie,
Maman avait été appelée très tard la veille par le fait , son frère venait de
succomber.
Je n’oublierai jamais que tonton, le frère de Maman avait employé Maman,en pleine guerre pour porter des peaux de lapins, tonton a été maroquinier
puis patron d’un hôtel-restaurant, à Lyon, son commerce s’appelait « Au
bon vigneron ». Il était parti à LYON après avoir produit des porte-monnaie,
collection luxueuse, dans son appartement, pour partir couvrir la "fashion"
du bel ouvrage, du beau cuir fantaisie.
D'habitude, le lieu de travail est différent du domicile, lui et sa femme, avaitune grande pièce avec quelques ouvriers qui avait travaillé longtemps en
maroquinerie. Ses collègues comme il les appelait, Tonton s'y collait vers 16
heures après une bonne sieste car il était faible du cœur après la Libération,
Maman, sa sœur était souffrante, elle aussi, Pas en état de faire les mêmes
déplacements que pendant la guerre, où elle avait été contraint d’aller en zone
libre avec son frère,.Papa adorait la mode, lui aussi faisait dans la confection, il fabriquait des sacs, avec comme patron son grand ami d’enfance Louis, de très vieux copains. L'ambiance de ma tendre enfance avait toujours été hyper bonne, hyper conviviale, il y avait la femme du patron qui s’était installé toute jeune à son compte, comme petite main, petite ouvrière et avait épousé Louis avant d’acheter plus grand, toujours plus grand. Les week- end, quand j’étais môme, c’était toute une bande copains et copines avec Papa, Maman, c’est à peine si je pensais que sur cette Terre, d’autres existaient . ",
Il y a longtemps, j'avais interrompu mes études supérieures pour effectuermon service militaire. On notera que depuis ce service fut abolit.
Mes notes furent au préalable écrite à la main. Je ne faisais pas de fixation s
ur ma période sanitaire, où j’étais contraint de suivre un traitement qui apparu t
rès vite disproportionné et dénué de tous fondements.
C’est donc relatif à l'échec d’une prétention psychiatrique,une pseudo-prévention, que je râle.. J’ai eu accès aux archives médicales.
Je sais bien trop qu’il s’agit de documents d’archives et de document vraiment
mal assignés en justice. Un dossier concerne pour l’essentiel l’idée de pièces
nouvelles, pour montrer s’il y avait lieu de me pensionner.
J’ai été victimes de propos fallacieux de plusieurs engagés et d’un internementabusif.
Pour autant, cette plainte avait été augurée en justice par un premierpsychiatre face à l’État attaqué sur ses deniers.
Ce ne sont que quelques mots, quelques suggestions, et commentairesmédicaux dont j'ai eu l'honneur et l'avantage de bien connaître. Lorsque je fus
hospitalisé durant les derniers mois de mon service on en avait plaisanté en
famille. J’'ai pu me rendre à l'idée de ce que ce vocabulaire méticuleux, précis,
aidant, on créait surtout un fossé entre la réalité et disons la théorie. Tout se
passif normatif ne tient pas la route, ce ne sont après tout que des mots,
entachés d’incertitudes. J'ai tout revu à la baisse
À côté du passif de notre dette publique, il reste le passif des mots,,
face à un certain inconscient collectif
Bien sur j'aurais aimé qu'un lien soit tissé, mais vu les mouvements d'orgueil,
les paroles inutiles qu'on entend chaque jour, vu la maturité ambiante,
il faut bien composer avec cela, je dirais entendre ce qu'on veut bien entendre, prendre du recul..
Il y l’idée que l’on peut juger ambigus et frileux sa propre petite vie,sa petite enfance, son adolescence. Après on est obligatoirement dépendant
d'un passé ? il y a des termes tels que : Séquelles d’épisode psychotiques
aiguës. Personnalité névrotique avec élément d’immaturité –
Labilité émotionnelle, fatigue, anxiété, ce sont des limites qui ne courent pas
les rues. . Il n’en est pas moins vrai qu’, il faudrait arrêter le massacre de la
part "psy" qui s'y régalent, pleins de français ont d'ailleurs pressé pas devant
la psychiatrie
Cette nuit passée, à dormir sous somnifère me revient, elle appartient à une
fixation sur ce qui précédait, j’ai repensé à ceux que je j’ai côtoyé, en caserne,
à saint florentin dans l’Yonne.
Bon passons, après 30 ans de procédure, il est dit dans mes attendusqu'au 4ème jour après cette incorporation, j'avais des troubles du
comportement. Allez comprendre pourquoi un psychothérapeute peut bien
affirmer dans ce sens, quelle anecdote après 4 jours d'armée, lui a- fait dire
sur un témoignage juridique, ce qui précède. Est-ce une corvée dont on m'a
dispensé, est-ce un courrier que j'ai reçu de mes proches de cette époque,
allez savoir. Cette hygiène mentale, cette psychologie, m'échappe.
Le principe masculin est réputé, on le voit au-dessus, et suit en celasa direction naturelle; le principe féminin est au-dessous, conformément
à la direction de son mouvement. Un état de repos s'est donc établi, car le
mouvement est parvenu à sa fin normale. Appliqué à l'homme, la France traite
du problème de la paix du cœur à acquérir à l'envers, et sans équilibre et sans justesse. Le cœur est très difficile à calmer quand il est meurtri et les plus mal intentionné parfois l'emporte sur les autres. Tandis que d’autres, plus ZEN s'efforcent d'atteindre le repos par la cessation de tout mouvement dans l'état d’une drôle d’euphorie, le point de vue de mon Livre, intitulé ESSAIS de MANDELKORN est peut-être plus convainquant, il tend à montrer de façon significative que le repos constitue seulement un état hyper important, qui a toujours pour complément le mouvement. Mais qu'à un moment donné, il faut du repos? Il est possible que mon texte contienne des allusions trop basiques à des pratiques plus importantes que Naguère, des pratiques en terre française sur les "afflictions" généralisées de notre société moderne, de notre société politiques. Disons l’extase d’un repos face au mode organisée de nos efforts, quand la justesse s'égare.
Il entre dans sa cour et ne voit plus les siens, je fais référence à mon adjudant,MASSON. Pourquoi je me suis retrouvé en période de repos, à quelle initiative, ..
Pas de blâme mais du repos forcé : Je fus dirigé sur une période sanitaire,transitant par plusieurs établissements médicaux. Je devrais dire des périodes
morcelées, moi, j’aimerais qu’elle ne fasse qu’un à travers l’unité de ses
acteurs, et cette unité, il n'y a qu'un mot pour la qualifier : vérité ou
mensonge.
Le vrai repos est celui où l'homme s'arrête quand le moment est venu des'arrêter et se meut quand le moment est venu de se mouvoir. Là, il
s’agissait de se mouvoir, malgré tout l’embarras qu’une période sanitaire
procure. Ainsi le repos subvient et le mouvement va nourrir l’affliction,
il faudra nourrir le temps supplémentaire, rester quant même en harmonie
avec les exigences du temps et l'on tente la lumière et la vie, regarder la nuit
descendre. C’est la fin et le commencement de tout mouvement. Adossé à
la Mer, siège de tous les cordons nerveux qui transmettent le mouvement,
j’avais avant la période de convalescence, eu l’occasion de passer ma période
de détente à la mer avec mes parents, parents qui furent très surpris de me voir
en détente prolongée si je puis m’exprimer ainsi après. Lorsqu'on fait cesser
le mouvement de ces nerfs, en pensée, on voit en France en quelque
sorte « le moi » s'évanouir avec son inquiétude. Quand l'homme est parvenu à
une telle paix intérieure il peut se tourner vers le monde extérieur !
Il ne perçoit plus en lui, le combat et le tumulte des êtres individuels et
possessifs. En conséquence le calme nécessaire pour comprendre les grandes
lois des phénomènes de l'univers et s’y conformer, c’est sa conduite.
Celui qui agit à partir d'une telle profondeur ne commet pas de fautes.
Le cœur pense constamment. On ne peut pas changer cela.Mais les mouvements du cœur, c'est-à-dire les pensées, doivent se limiter à la
situation vitale présente. Toutes les songeries et les spéculations qui vont plus
loin ne font que blesser le cœur.
Garder les orteils immobiles, donc au garde à vous, c'est demeurer deboutsans bouger avant d'avoir commencé à se mouvoir. Le commencement est le
moment où l'on commet le moins de fautes. On est encore en harmonie avec
l'innocence originelle. On voit intuitivement les choses telles qu'elles sont, sans
encore être influencé par l'obscurcissement qu'y introduisent l'intérêt et le désir.
Celui qui se tient immobile au commencement et n'a pas encore abandonné la
vérité trouve la juste direction. Il faut seulement une fermeté constante pour ne
pas se laisser ballotter sans volonté.
La jambe ne peut se mouvoir de façon autonome, mais son mouvementest dépendant de celui du corps. Quand le corps est engagé dans un
mouvement rapide et que la jambe est brusquement arrêtée, le mouvement
du corps se poursuit, si bien que l'homme tombe
Il s'agit d'un repos obtenu par la contrainte. Mon internement a été jugéabusif, à Nanterre, à Versailles car il fut jugé..
,
De tout temps, nous avons toujours cherché à maîtriser l’image que nousdonnons de nous aux autres… Mais en fait, c’est bien là toute la différence…
Je n’aurais de cesse de le répéter, notre identité virtuelle n’est qu’une facette de notre personnalité… Oh combien il nous est facile de présenter en vitrine une version spirituelle, joyeuse et bien organisée de notre vie
Et plus que jamais, comme une pièce de théâtre où l’on se fabrique unpersonnage».
On m’indiquait à la fin de mon service : Anxiété », je réponds, à mon médecinmilitaire, vous avez l’angoisse de l’impression, la théorie du livre sur la
perplexité dans vos veines, étant donné que malgré vos promesses de
connectivité sociale, la technologie des mots usuels nous isole davantage
en faisant écran à une réelle intimité de mots plus savants.
J’avais réussi mon baccalauréat de technologie, puis ce fut le temps de monservice militaire qui m’incombait
On m’indiquait à la fin de mon service : Anxiété », je réponds, à mon médecin
militaire, vous avez l’angoisse de l’impression, la théorie du livre sur
la perplexité dans vos veines, étant donné que malgré vos promesses
de connectivité sociale, la technologie des mots usuels nous isole davantage
en faisant écran à une réelle intimité de mots plus savants.
Oui, nous en avons intuitivement l’idée par ce que nous en avons tous faitl’expérience : C’est le … bonheur. Pour autant nous avons souvent l’impression
qu’il est difficile à atteindre. Cela vise à montrer, sur le fondement, que le chef
de file de la psychologie positive, devrait s’imposer que, même si nous n’en
avons pas conscience, l’état de bonheur est à notre portée car il consiste à
maîtriser nos aptitudes sur lesquelles l’on peut travailler.
Est-ce que vous ressentez plus souvent de la joie, de la reconnaissance etdu plaisir que de la tristesse, de la colère et de la frustration ?
Cette capacité dépend peu sur le long terme des événements extérieurs de
la vie
. D’abord parce qu’on définit alors son bonheur en fonction de la réalisation de
résultats qui sont incertains et de toute façon si temporaire. Ensuite parce que
même si on les atteint, la question se pose de ce que l’on fait après. Le risque
est en effet de transformer sa vie en une surenchère avide de réussites et donc jamais satisfaite.
D’abord on peut apprendre à donner plus de place dans sa vie aux émotionspositives. Par exemple, les personnes qui écrivent un journal de gratitude où
elles écrivent régulièrement ce qui leur est arrivé
Dans notre cerveau, des circuits neuronaux font office d’ “intégrateur central”.En schématisant, on pourrait comparer cet intégrateur à une sorte d’ordinateur
qui reçoit et traite en permanence toute une série d’informations.;
l'ordinateur est bête, soyons intelligent.
. Le cerveau commande la plupart des fonctions du corps : la respiration,la contraction des muscles, les battements du cœur... C'est aussi dans cet
organe que sont analysées les informations sensorielles (la vision, l'ouïe, le
toucher, l'odorat et le goût).
Enfin, le cerveau est le siège de la mémoire, de l'apprentissage et des émotions. Il faut alléger, décharger, délester, atténuer, diminuer, adoucir, atténuer.
J’étais avant mon service militaire suffisamment avancé pour prétendre àobtenir un diplôme de l’enseignement supérieur, plutôt réservé sur mon sort
(j’ai écris un livre « ESSAIS » disponible sur INTERNET à mon nom
MANDELKORN
Donc déformer faits et choses, de façon surpuissante comme en Droit, on
interprète. On me demanda de poursuivre ailleurs alors que j'étais
profondément convaincu que ce n’était pas nécessaire. Si vous lisez mon
livre "ESSAIS" de MANDELKORN, il y a des mots qui n'étaient pas à l'origine
les miens.
Fallait-il, que j'écrive cette histoire, fallait-il que je parle d’un traitement qui
m'a piqué à vif, du fait que durant ce qui s’est passé durant mon armée
n'aurait jamais existé dans le civil,
En fait, c'est ce psychiatre civil, une fois délivré des obligations militaires
et « sanitaires » de ma période, qui a eut l'idée de démarrer une plainte en
mon nom, sitôt après mon congé "de convalescence".
Ce fut donc de la suspicion,...
Ce que je peux dire, c’est qu’à cette époque (en octobre 1973, j’étais
sursitaire et , deuxième classe.., Ce genre de troubles relèvent de théories
médicales affirmés mais à vocation théorique, quelle sur-interprétation,
quelle surréalisme
, Sur la base des propos sans relation avec ce qu'on appelle à tord ou à
raison "une Normalité". D'un côté on reproche à "la normalité" de faire stagner
les choses, de ne pas être souveraine en tout, de dissimuler aux yeux du
plus
grand nombre une forme d'incapacité à se montrer. De l’autre, on se montre
avec une très grande liberté de pensée et ça dérange, avec cette infini
particularité qu’est la spéculation, face à elle on a le sentiment significatif de
l'impuissance....
Pourquoi as-t-on jugé utile de m’hospitaliser en fin de période militaire ?
Tout médecin se doit de s’informer de l’existence d’un cas réel ou divulgué,
je ne dis pas irréel, je dis divulgué et non pas spécialement réel
L’exploitation de mes informations aurait pu également permis d’apprécier
l’évolution globale du phénomène au sein des Armées, du temps actif, d’un
simple appelé à celui d’un engagé..!
L'État dit tout le monde est prévenu, en substance, il se pose le problème detout prévenir pour ne pas avoir à guérir ensuite, donc à devoir réparer
Vers mai 1975 il y a eu plainte. En effet, un psychiatre civil, consulté dès la finde mon service a vu tout de suite clair. Mais il n’y a pas eu de suite et au
besoin, on peut dire que l’État a bien manœuvré, disposant jusqu’à des arrêts
pour stopper la procédure TROP BIEN guindée
Au début, j’ai regardé cela de très loin, pris à la légère toute cette forme de prétention sanitaire qui disait faire de la prévention. Finalement, j’ai considéré l’ensemble comme des avatars, malgré cet air « bizarre » qu’on m’a imputé. Pour y avoir rapidement vu que les enjeux n’ existaient pas à travers la pratique psychiatrique mais surtout et encore à travers la pratique médicamenteuse , contemporaine mais aussi et c'est le plus important, l'autorité familiale de mon époque passé et future, une culture héritée du père, qu'on qualité de "judéo-chrétienne", d’autorité mal marquée , d’une mère coléreuse, envahissante, et alors, Il y a en matière d’expertise, plein de choses à décliner. C’est de la théorie fumeuse, faute de me pourvoir en Conseil d’État
Dans la « mosaïque de l’expertise judiciaire », la psychiatrie occupe une place particulièrement sensible, soumise à de multiples critiques, parfois contradictoires : omniprésence de l’expertise psychiatrique, mais manque d’évidences d’experts psychiatres ; leur pouvoir sur la décision des juges : dire qu’il y a plus encore, or, il y a moins, d’où une une grande faillibilité par rapport à la pratique : « l’expert ne bénéficie pas de l’aura de scientificité, d’objectivité et de technicité attachée, par exemple, à son vocabulaire.
. Ces abus ont pris racine, comme un enfant porte dans ses veines le sang de ses parents. DE façon afflictive, on remonte, à l’aide d’une manivelle dans son passé, un vieux phono, et on répète-le tout sur une forme de plus en plus hasardeuse, et finalement trop savant, dans une immobilité absolue. Effectivement, je ne peux nier que d'autres sont bien plus à même à en savoir plus que moi.. Évidemment. Vous savez : les diagnostics ont eu du mal à exister, que ce soit durant la procédure médicale ou la procédure judiciaires :"Séquelles d’épisodes psychotiques aiguës, labilité émotionnelle, angoisse, anxiété, fatigue, personnalité névrotique aiguë avec séquelles psychotiques (Déjà ancienne)Ancienne et donc à titre documentaire : personnellement le mot documentaire, c'est plutôt du vécu, du concret, mais ce n'est pas le souci du médecin ni de la Cour-, Sentiment de persécution- séquelles interprétatives -Personnalité complexe avec éléments d’immaturité , psychose chronique (il y a forcément un moment de notre où le cerveau se trouble, il y a ce mot Personnalité pathologique qu’on assimile à une psychose chronique), il y a des troubles du comportement qui tourne au charlatanisme, il y a EN FAMILLE comme un drame qu’on m’a inventé, fort exploité bien avant en psychiatrie, puisqu’on a recherché petite enfance. Un psychiatre n’est pas positionné comme un médecin généraliste, il est plutôt contradictoire...
L’idée d’un fil info, voir d’un flux médical serait un plus