Fantôme mélancolique

La journée avait bien commencé

Nous avions droit à la chaleur de l'été

Et tu as su me charmer

Moi qui pensais avoir oublié

Ton sourire, ça beauté, son goût

Tes yeux aurait put me rendre fou

Rien que ton corps en aurait fait pâlir

Et c'est à moi qu'est venu ce plaisir

De profiter de ta compagnie

Pendant toute une nuit

Et pourtant

J'ai eu beau être hardant

Parcouru de désir

Je n'ai put en jouir

Je n'ai pu profiter de ce plaisir partagé

Troubler par un fantôme du passer

Une pensée qui me ronge encore

Malgré tous mes efforts

Elle est la, dans ma tête

Souriante et belle

Oh toi l'amour de ma vie

Qui ne peut tomber dans l'oublie

Et me laisser aller en toute liberté

Comme tu l‘as fait par le passer

Me laissant seul avec mes souvenirs

Dans l'enfer de cet avenir

Je quitte en pleine nuit

La chaleur de ce lit

Envahi par un profond ennuie

A cause de cette brusque mélancolie

Je rumine mes sombres pensées

Qui ne font que me rongés

Je pensais avoir enfin oublié

Aujourd'hui remonte le fantôme du passer

Il ce lève et va dans la cuisine d'un pas sans entrain, juste parce qu'il à faim. Il ce rappel la pomme rouge qu'il avait acheté il y a trois jours. Il cherche sur les étagères, dans chaque placard, regarde et revient en arrière mais ne la trouve nul part. Il retourne dans ça chambre et la regarde dans ce lit, cette fille charmante et si pleine de vie. Il fait quelque chose que d'ordinaire il n'aurait pas osé, mais il est lasse et il s'en fout, il fini par la réveiller.

 « Je me demandais, c'est toi qui a mangé la pomme rouge que j'avais laissé dans la cuisine ?

- Oui, hier, lui répond-t-elle d'une façon grincheuse et mal réveiller. Pourquoi ? C'est grave ?

- … non c'est pas grave, dit-il avec lassitude en referment la porte. »