Fée
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« Elle est belle, petite mais agaçante »,
Confia la mère fée
« Je ne la veux plus dans mon logis. »
Corneilla entendu cette déclaration,
Partit en voyage, loin du monde des fées.
Elle croisa une commençante
Qui la supplia de l’aider.
Naïve, la petite fée lui offrit un beau visage et le sens de la négociation
Pour que son amie puisse négocier avec influence, et vendre avec manipulation.
La fée fut contente,
Elle eut réalisé un souhait,
Croisa un humain qui voulait du pain.
Elle en vola un, lui rapporta.
La fée fut surprise, l’inconnu était un mendiant
Néanmoins, ravie de l’avoir aidé, elle lui sourit et partie.
Sur son chemin, elle aida ainsi plusieurs humains.
La rumeur alla jusqu’aux fines oreilles de la mère fée qui l’appela.
La jeune fée crut bien faire en se présentant à la mère
Qui, en fait, l’enferma après lui avoir porté une malédiction :
Jamais plus elle ne pourrait faire de magie
Pour le bien des fées qui maintenant était découvert par les mortels.
Corneilla, enfermée dans une tour, eut rassemblé la pitié de ses amies
Qui voulurent l’aider
En cachette, elles se réunirent dans le sous-sol de la grotte où Corneilla était enfermée
Corneilla pleura sans fin
S’excusa pour le mal qu’elle avait cru bien
Les autres fées se présentèrent à leur mère fée
Qui n’en avait rien à faire.
« Cette saute nous cause que des ennuis » ;
S’écria-t-elle,
« Comment pourrais-t-elle réparer ces fautes faites à autrui ? »
« Mère fée »,
Répondu Afre, fée maligne
« On en prend la responsabilité »
Les fées voulurent que leur amie soit libérée
Et obtint l’approbation de la mère fée
A ce que Corneilla assume ses fautes en utilisant une dernière fois sa magie :
Aller à l’Arbre de vie
Et demander son soutient
La fée déchue eut bien du mal à trouver le vieille Arbre
Elle le supplia et fini par le convaincre de ramener la paix à son royaume
Que les mortels oublient ce monde magique où règne des créatures scintillant de magie jaune
Le royaume fut en paix
Mais Corneilla dut déserter
Elle perdu ses pouvoirs, oublia qui elle était avant et devin une mortel
Mais gagna vite le cœur d’un humain
Celui à qui elle avait apporté du pain.