GEAI T'HAIES PAPILLON

Philippe Larue

L'intralède était fécond, probablement comme mon ego où j'y installait Mékong parfois King. Et ses rêveries m'avaient offertes un sacré voyage.

Le Sphinx, Monarque des scribes, observait ma tête de mores. Heureusement que l'haïku y était exempté. À l'intérieur de l'ergastule, pourquoi y étais-je cadenassé finalement, puisqu'ile n'y avait pas de pont des Arts ni de Mozart? Claquemuré sur une pallaisse puante de poivres d'arts voraces, l'impératif de m'évader de cette mésangette, était strict. D'écailles aux raisins de la colère, Kant le Monarque chrysalides au lieu d'une salade de chenilles, qui redémarrait?

La rumeur d'un roadkill dû aux Bombyx du mûrier d'Astérix, circulait. Entre Grand Mars et Petit Mars, si Avril me découvrais d'un fil, Juin Allais m'alcaloïder des idées. Paon du jour et Panthéon de nuit, les bonjours d'évasions depuis m'office Calais, et se révèlerait difficile.

Puisque j'étais un papillon ultraviolet, pas atrophié du nectar des mots, où mes serpolets auraient enserré Paulette en Juin, partir, partir, partir. Soie je parvenais à m'extraire du cachot, soit le vocabulaire Devos y serait un fossile. Attention au gardien toutefois. 

Si Machaon Macbeth, que Macadam Baby, macchabées de la bonne débouchée, Léon m'attendait où, après l'évasion? Sans argus bleu ni bonus blancs, l'Abeille avait accepté de m'assurer. Heureusement, Le Fadet d'élyme m'avait balanstiqué sa maladie des Lyme. Mais, cela me concédait l'échappatoire. 

Ensuite, carte blanche pour l'envol en Wingsuit. L'Art avait le berceau de la vie, les Croft...hélas Co, émoi...la transformation d'un rêve de mon âme, à Wagram près. 

Signaler ce texte