Haïr

fenrir

Je lance un appel 

A d'innombrable sentinelles 

Pour déverser la colère 

D'un cœur qui ne ressent que la haine 


Les vagues m'ont ramené 

Sur les littoraux qui m'ont rejeter

Je suis le présent, d'un passé infortuné 


Le souffle glacial de l'hiver n'est plus éphémère

Depuis que je me nourris 

De la noirceur de la nuit et de toute sa mélancolie




  


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