Histoires drôles.
Hervé Lénervé
Vous la connaissez, celle de la chatte qui veut envahir la Pologne ?
Non ! Dommage…
j'aurais bien aimé la connaître. J'en ai entendu parler par des potes, ils ne m'en ont dit que du bien… mais bon… tant pis… Voilà… Voilà, donc… bien… voilà… donc, voilà, bien …
Mais si ça se trouve !!! Vous ne connaissez pas celle de la chatte qui veut envahir la Pelote, d'accord ! Mais vous en connaîtriez peut-être une autre, des fois ? Même sans Polonaise.
Moi, au point où j'en suis-je prends tout. Ma chronique est foutue, alors, foutue pour foutue, je prends tout et n'importe quoi, avec une préférence marquée pour le « grand n'importe quoi », quand même.
Oui, tout ! Oui, même celles, que personne n'a jamais voulues prendre, parce qu'elles choquaient trop la morale ambiante judéo-chrétienne de l'orthodoxie de la chose pensée… « Le politiquement correct », comme on dit à présent, comme si une simple histoire de cul avait quelque chose à voir avec la politique, de plus dans « politiquement correct » je fleure comme un parfum d'antinomie, quelque part, pourquoi pas « politiquement honnête » pendant qu'ils y sont !
Mon coup de gueule est fini, cela ne m'arrive que rarement, je suis plutôt du genre zen, cool et mou de la chique, d'habitude, moi, Lénervé. Je ne sais pas ce qui m'a pris… Bref. Excusez mon emportement inexcusable.
Merci ! Grâce au don d'une personne anonyme qui préfère ne pas dévoiler son identité pour des raisons d'ordres personnelles et privées et spécieuses que je respecte, même si je n'y souscris pas… une sale histoire, en fait, de mœurs familiales, dans sa propre famille, suite à une plainte du voisinage qui n'auraient pas été invités aux partouzes. Enfin, vous savez toutes ces querelles mesquines de la copropriété. Rien de bien méchant, en violité, pardon, en vérité, ma langue a léché, a gourgé, a … enfin vous m'avez compris…
Je vais donc pouvoir, enfin, vous raconter une histoire marrante. Il serait grand temps, car on commence à se faire chier un max, si vous m'autorisez à me permettre cette expression quelque peu familièrement cavalière à califourchon sur mon bidet de la salle de bain ?
***
Voilà… donc… c'est dans un couvent où des séminaristes prennent la douche ensemble, en commun par exemple, dans des douches multiples et collectives de fait, à plusieurs en somme, entre hommes, puisque les animaux y sont interdits et privés des bienfaits de la Religion par bulle papale n° 2568 de l'Apocalypse verset 7, tiret B, à la ligne pour le gardon.
Un apprenti curé dit à un de ses potes apprenti curé aussi, même grade, même compagnie, même escadron, même médailles :
- Mais t'aurais pas grossi de la « BIT », toi, mon salaud ?
- N'importe quoi ! Mets tes lunettes, gibleux ! Non, bigleux, veux-je dire !
- Si je t'assure, t'as grave grossi de la « BIT » ! J't'assure !
- Puisque je te dis que je n'ai pas grossi de la « BIT » que je peux encore entrer dans du « BIP » ans.
Voilà… voilà… voilà donc… Au revoir à plus tard ! Peut-être ? Ça ne dépend plus que de vous !
Allez pour me faire pardonner, une petite gentille :
- Tu as déjà vu la dernière femme de Stevie Wonder ?
- Ah, non !
- Bé, lui non plus !
Une dernière, encore plus gentille :
- Savez-vous ce qu'il y a de plus horrible qu'un bébé dans une poubelle ? Non !
Un bébé dans deux poubelles.
OUF ! C'EST FINI ! Je ne pensais jamais m'en sortir, aujourd'hui.
Pourquoi tant de haine ? :o)))
· Il y a presque 6 ans ·daniel-m
on se le demande ! :o))
· Il y a presque 6 ans ·Hervé Lénervé
C'est insupportable de se tromper dans le tri, à chaque préfet poubelle son propre contenu !
· Il y a presque 6 ans ·yl5
pour le tri collectif le tout c'est d'avoir des poubelles bien identifiées. Une pour le tout en mélange, une pour les cartons et plastics recyclables, une autre, autre pour les déchets compostables, les nourrissons doivent absolument être mis dans cette troisième. :o))
· Il y a presque 6 ans ·Hervé Lénervé