Hong-Kong sous l'avenir

Totem De La Nuit Belle

Sauvés par la Poésie

Dans tes yeux compliqués se fascine une manière d'être au monde, Se façonne ton “se plaire” pour que tu plaises ou grondes.

Jeune fille ne vois-tu pas ?

Ce qui aveugle sonde,

Et que chaque couleur

Couvre pour l'heur l'immonde.

Tes cols Claudine,

Les trépassées,

De l'île de Sein,

C'en est assez,

Tes conseils cons,

Tes yeux plissés,

Je ne vis que,

Écoute moi bien

Je n'vis que pour

Brûler.


Nous sommes si prisonniers

Des traces inquiètes, des blondes

De leur strass vitrifié,

Que reniflent “en abonde”

Nos égos sous-aimés,

Que persiflent sous fronde

Nos aléas jactés.


Nous ne réussirons pas,

Ni eux, nous, ni personne;

Nous avons décidé de trouver “l'échèque” belle;

avec romantisme, avec hypocrisie

pour que tout ç´l'a vaille la peine,

Qu'eux et vous

Trouvent toute “résonne”

Au milieu d'nos voyelles.


Les canap' cuir abondent,

Avec eux, ta fausseté,

Ta “mièvre” légendaire

Et tes lèvres “calcules

Qui pointent mal les

Fils de pure ridicules

Sédentaires.

Tes postures dentées,

Finissent parisienne

De t'éliminer.


Tes yeux levés,

fauss'ment concernés,

cherchent une lumière qui n'existe pas.

Nous sommes si prisonniers

Des traces inquiètes au monde

La flamme vive,

le i d'un bouge,

Lumen rouge

Saignant


Les blondes béates, bues,

Aimant,

béatifiées,

Les blondes bêtes, plates,

Vraiment ?

vite vues jamais biaisées.

Vite nues jamais baisées…

Nan…

La femme ivre coupe gorge

Ravive l'ombre des bières rouges

Clame Eugénie ta mélopée

Tes ouragans égorgent

Ils nous enivrent, enveloppés

De malts et d'orge.


Je me surprends à t'aimer quand tu souris,

veux te le dire puis subis

les heures heureuses de lâcheté

Dans un bar de Sheung Wan

qui finiront pochtron-minet

Sans vues en garde

D'un quelconque

Estaminet.


Sans vues en garde d'un public

qui finira par t'aimer,

Sans vues en mire des mégardes

Que plongeront ton décolleté.


Les canap' cuir abondent,

Avec eux, ta fausseté,

Ta “mièvre” légendaire

Et tes lèvres “calcules

Qui pointent mal les

Fils de pure ridicules

Sédentaires.

Tes postures dentées,

Finissent parisienne

De t'éliminer.

Signaler ce texte